Saint-Thuriau porte:
de pourpre au chevron d'argent chargé de trois mouchetures d'hermine de sable posées à plomb, accompagné en chef à dextre d'un trèfle, à senestre d'un fer à cheval et en pointe d'un sapin arraché, le tout d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-Thuriau
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. Saint-Thuriau, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !
Sur les côtes bretonnes, à mi-marée et lorsque la mer est calme, si vous savez regarder en oubliant votre modernité vous pourrez parfois remarquer des ganses et des rubans sinueux un peu plus clairs que les eaux environnantes, rappelant une voie lactée marine.
C'est une route sacrée tracée par des hommes et femmes de grandes saintetés, ou par des divinités ayant eu le priviliège de marcher sur les eaux.
Regardez-les et vous les verrez...
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
Ouessant et toutes les côtes bretonnes, comme toutes les côtes du monde et du monde, furent lieu de croyances et superstitions liées à la mer. Ces croyances et superstitions n'ont pas disparu, elles ont simplement changé de genre et lieu.
Par le passé, sur les côtes de Basse-Bretagne, il était affirmé que si un petit pêcheur naissait au jusant, il n'y aurait pas d'orage dans la journée, le ciel fut-il menaçant...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-Thuriau ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-Thuriau, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Terrible accident
Saint-Thuriau, 10 février - À 4 km de Pontivy, au passage à niveau de Saint-Thuriau, l'autocar Pontivy-Lorient conduit par le russe Skripnikov, est entré en collision avec un cycliste qui a été tué. Le car, déporté, alla se jeter sur une roulotte arrêtée au bord de la route où il y avait un homme et une femme, grièvement blessés. La femme a été transportée à l'hôpital de Pontivy. Le cycliste est M. L.Mallardé, 44 ans et trois enfants, cantonnier à Bieuzy. Le chauffeur est indemne.
LA CROIX - 3 août 1938
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ L'empoisonneuse...
À l'époque, vers 1879, Lambesc, agréable commune de france, comptait 2.000 âmes tout au plus. Chef-lieu de canton, c'est une petite commune bien calme où tout le monde connaît tout le monde, où tous les faits, gestes et intrigues sont connus de tous.
À Lambesc, comme ailleurs, on est plutôt taiseux en cette fin du XIX° siècle et l'expression Secret de village garde tout son sens.
Jusqu'à un certain point...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Thuriau ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Thuriau ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Ber, ber, miz C'hwevrer, karg ar poulloù hag ar foz,
Me ho dizec'ho en un deiz hag un noz.Coule, coule, Février, remplis mares et fossés,
En un jour et une nuit je les dessécherai.
⤇ Plus près de toi, mon fils - Année 1930
Deux amis discutent:
- Alors, j'ai appris que tu déménageais pour te rapprocher de ton fils qui habite New-York. Où vas-tu donc t'installer ?
- À Brest...
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Thuriau.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !