

Péaule est une commune de 2.500 habitants en département de Morbihan qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

Péaule, en breton Pleaol, est signalé, pour la première fois connue dans les écrits, en l'an 876 dans le cartulaire de Redon. Nous l'y retrouvons dans ce passage latin Plebe que dicitur Gablah, puis en l'an 1008 avec un Plebe Gavele. Ce n'est qu'en 1351 que ce toponyme apparaît dans une forme proche de celle utilisée actuellement avec un Ploiaule ; forme présente aux archives du chapître de Vannes.
Les sens proposés à ce toponyme semblent converger vers un Peuple de la cour, ou population de la cour.

Péaule porte:
d'argent à une trangle ondée d'azur en pointe surmontée d'un pin arraché de sinople adextré d'une merlette de sable, au franc-canton de gueules chargé d'une moucheture d'hermine d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Péaule

Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !

Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Il était dit, dans certaines régions de Bretagne, que les arbres déracinés, les toitures arrachées, les dégâts causés par la tempête étaient le fait d'un fantôme volant particulièrement violent.
Lorsque sa présence était signalée ou se précisait, les Bretons se devaient de prendre des précautions pour éviter le pire ; ce que nous comprenons aisément !
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Péaule ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Péaule, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Le dolmen disparu
Partout de par le monde, de multiples lieux de cultes antérieurs à la religion qui s'implante furent détruits ou saccagés par la religion colonisatrice.
Ainsi, Notre-Dame de Bois Vert, à La Fare-en-Champsaur, agréable commune française des Hautes-Alpes, fut un haut-lieu de culte néolithique depuis adapté à la religion chrétienne. Sans doute trop chevillé au cœur et âme des habitants, sans doute trop important, il fut plus aisé de le faire que de le détruire.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Péaule ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Péaule ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Soldat - IV° siècle
Saint patron des commissaires, des maréchaux ferrants, des mendiants, des policiers et des militaires, il est aussi celui du diocèse de Tours et de celui de Tulle.
Né en Panonnie, en 316, actuelle Hongrie, Martin, fils de soldat romain, se retrouve lui aussi légionnaire comme il est devoir aux fils de légionnaires. Sa mutation, en Gaule, l'amène à Amiens, ville où il partage son manteau avec un pauvre. Faisant choix de Chrétienté, il quitte l'armée, rejoint St Hilaire puis, avec lui, fonde le premier monastère de la Gaule à Ligugé, Poitou. Enlevé par les habitants de Tours qui le veulent comme Évêque, il accepte la charge et se consacre à évangéliser la région jusqu'à sa mort à Candes, le 8 novembre 397. Il est un des saint principaux de la Chrétienté.

N'eus ket hardizoc'h eget roched un miliner
Rag bep mintin e pak ul laer ! Rien n'est plus infatigable qu'une cravate de meunier
car elle tient tous les matins un voleur à la gorge !

⤇ Grand mais usagé - 1937
Adolf dit à un de ses petits camarades:
- Regarde cette belle trottinette que mon arrière-grand-père m'a acheté.
- C'est quoi un arrière-grand-père, demande le petit camarade.
- C'est un grand-père qui a déjà servi deux fois, répond le petit Adolf.
Nous remercions les différents contributeurs de Péaule.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !