

Buléon, en plein cœur du Morbihan, est petite commune et, cela en est cause, ne possède pas un patrimoine architectural considérable. Il ne faut pas pour autant oublier de visiter la Chapelle Saint Anne dont la fontaine extérieure est remarquable, ou admirer le Château de La Ferrière, remarquable.
Laissez-vous porter par les chemins et découvrez cette plaisante petite commune !

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Buléon, en breton Buelion, apparaît dès 1280, sous la forme Buellion dans les archives du Chapitre de Vannes.
Ce toponyme semble dériver de Bues - l'étable - ou Buel - le bétail - basé sur le radical Bo-, Bu- qui se retrouve dans les langues celtiques pour désigner le bovin.
Ce radical se retrouve toujours en breton avec le mot Buoc'h signifiant vache - bétail se dit maintenant Chatal.

Buléon porte:
de gueules à l'épée versée d'argent, à une bordure d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Buléon

Sur les côtes bretonnes, à mi-marée et lorsque la mer est calme, si vous savez regarder en oubliant votre modernité vous pourrez parfois remarquer des ganses et des rubans sinueux un peu plus clairs que les eaux environnantes, rappelant une voie lactée marine.
C'est une route sacrée tracée par des hommes et femmes de grandes saintetés, ou par des divinités ayant eu le priviliège de marcher sur les eaux.
Regardez-les et vous les verrez...

Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !

Autrefois, à Abbaretz et tous les environs, il se disait qu'il suffisait de mettre une petite pierre sur la route puis faire des incantations spécifiques pour faire verser les charrettes.
Certains racontent que c'est pour éviter ce mauvais tour que les constructeurs automobiles ont inventé les suspensions ; d'autres - racontant n'importe quoi, prétendent que cela n'est pas la vraie raison mais ceux-là ne professent que racontars !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Buléon ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Buléon, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Médailles de la famille
Buléon, 17 mars - La médaille d'argent de la Famille Française a été remise le 13 mars à Mme Le Breton Louis, née Bellec Léonie-Marguerite, et Mme Le Clair François-Mathurin, née Guillouzic Marie-Josèphe.
L'OUEST RÉPUBLICAIN - 19 mars 1922
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Cocufiages à Sens
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Buléon ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Buléon ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Moine - XI° siècle
Moine dans un monastère qui périclitait, les six derniers moines le choisirent comme abbé de leur abbaye basée à Nogent-sur-Marne. Dynamique, Geoffroy relance ce monastère qui devient florissant. Devenu Évêque d'Amiens, écrasé de soucis liés aux seigneurs du coin qui menaient vie impossible aux habitants de la ville, il se retire en Grande Chartreuse. Calme de courte durée car il doit revenir à ses fonctions à Amiens. Il meurt à Soissons quelques mois après. Le rejetant, aucun membre du clergé d'Amiens ne réclamera son corps.

Na pa rafe ar vilin nemet un dro krenn
Ar miliner a zo sur deoc'h ur grampouezenn !Le moulin ne fait-il qu'un tour
Le meunier est sûr d'avoir sa crêpe !

⤇ La culture - Année 1904
Dans un restaurant réputé, un client est aux prises avec un Châteaubriant blindé qui oppose une résistance désespérée.
- Pour le coup, s’écrie l’assaillant en posant sa fourchette et reprenant haleine, je comprends les Martyrs de Châteaubriand !
Nous remercions les différents contributeurs de Buléon.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !