

Belz est riche de mégalithes découverts il y a quelques années et de l'ilôt de Saint-Cado que vous devrez visiter impérativement ; le coin est réllement splendide !
Vous serez interpellés par la petite maison d'ostréiculteur sur l'îlot ; c'est l'îlot de Nichtarguer, en breton, Nichtarger.
Sur la rivière d'Étel, Belz est une commune d'une grande richesse et d'une grande beauté de paysages !

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Belz, en breton Belz, offre de nombreuses hypothèses. L'une ferait lien avec Paschuéten, surnommé Belztonus, comte de Vannes mentionné dans le cartulaire de Redon. D'autres relient ce toponyme au dieu celte Bel - Bélénos.
La légende de Saint Cado construisant le pont reliant la terre ferme à l'îlot du même nom soulignerait cette hypothèse.
L'îlot de Saint Cado aurait-il été dédié au dieu Bel ?

Belz porte:
d'azur à une bande de gueules chargée d'un maillet accmpagnée de deux pinoches, une en chef, l'autre en pointe, posés à plomb, le tout d'or
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Belz

Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !

Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Il n'y a pas si longtemps, et pour certains actuellement, le monde du surnaturel était peuplé de dieux, démons, sorciers, sorcières et autres créatures merveilleuses, maféfiques ou bénéfiques.
Abracax est l'une de ces créatures...
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Belz ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Belz, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant Belz.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Les conscrits à Belz
Belz, 17 novembre - Les conscrits de Belz sont aussi courageux et catholiques que partout ailleurs. Il en ont donné la preuve ces temps derniers. Presque la totalité a voulu assister à la retraite d'Auray où il n'ont cessé de montrer l'exemple. Le dimanche suivant, ils assistaient à la messe du départ que M. le Recteur avait lui-même célébrée. Avec des mots touchant, il a félicité leur courage et les a remercié de la joie qu'il leur a procurée. Ils peuvent partir car ils sont heureux et ont accompli leur devoir.
L'ARVOR - 4 novembre 1898
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Les derniers ours
En 1875, il ne restait approximativement que 70 ours dans les Alpes françaises.
Victimes du déboisement, de la pression démographique, chassé et harcelé, l'ours disparaissait de nos massifs. Le dernier observé le sera en 1937 à Saint-Martin-en-Vercors, Maurienne ; le dernier ours officiellement vu l'étant 1940.
En 1975, un naturaliste signale avoir vu destraces d'ours dans le Chablais, Haute-Savoie. De même, des chasseurs signalent avoir aperçu une ourse et son petit dans le Queyras ; cette ourse venant peut-être du Trentin italien...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Belz ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Belz ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Moine - XI° siècle
Moine dans un monastère qui périclitait, les six derniers moines le choisirent comme abbé de leur abbaye basée à Nogent-sur-Marne. Dynamique, Geoffroy relance ce monastère qui devient florissant. Devenu Évêque d'Amiens, écrasé de soucis liés aux seigneurs du coin qui menaient vie impossible aux habitants de la ville, il se retire en Grande Chartreuse. Calme de courte durée car il doit revenir à ses fonctions à Amiens. Il meurt à Soissons quelques mois après. Le rejetant, aucun membre du clergé d'Amiens ne réclamera son corps.

Na pa rafe ar vilin nemet un dro krenn
Ar miliner a zo sur deoc'h ur grampouezenn !Le moulin ne fait-il qu'un tour
Le meunier est sûr d'avoir sa crêpe !

⤇ Au tribunal - Année 1896
En cour d’assises, l'avocat général se lance dans son réquisitoire:
- Et cet homme, Messieurs les jurés, ce lâche assassin, coupable d’un si odieux forfait, ce vil malfaiteur.
L’accusé dignement:
- Assez, Monsieur, assez ! Je ne saurais en supporter davantage, j’aime mieux m’en aller.
Nous remercions les différents contributeurs de Belz.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !