Situé dans le Serrois, en vallée de Channe, tout proche des communes de Savournon, Serres, Montrond et Méreuil, Le Bersac, commune des hautes-Alpes, en l'ancienne province de Dauphiné, est à 700 mètres d'altitude.
Situé à flanc de montagne, vos balades au Bersac vous offriront des vues imprenables sur le cirque qui lui fait face.
![]() | Français | Le Bersac |
![]() | Occitan | Lo Bersac |
![]() | Population | 200 |
![]() | Gentilé | bersacais |
![]() | Superficie | 8,02 km² |
![]() | Densité | 24.94 /km² |
![]() | Latitude | 44°25'0" N |
![]() | Longitude | 5°45'0" E |
![]() | Latitude | 44.416698 |
![]() | Longitude | 5.750000 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Le Bersac, en Occitan Haut-Alpin Lo Bersac, est attesté pour la première fois connue dans les écrits en 1203; il se retrouve sous la forme 'Barzas', 'Barzanum' dans le cartulaire de l'abbaye de Durbon. D'après certains auteurs, Le Bersac proviendrait de l'anthroponyme 'Bersius'.
d'or à une bande d'azur chargée de trois demi-vols d'argent
Patrimoine de Le Bersac
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Le Bersac
le Roi de Suède aux Gobelins
Paris, 14 mai - Le roi de Suède, accompagné de son grand-cbambellan, de ses aides de camp, de MM. Ackermann, ministre de Suède à Paris, et Roujon, directeur des beaux-arts, a visité hier à trois heures de l'après-midi, la manufacture nationale des Gobelins.
Le roi a été reçu à son arrivée par M. Jules Guiffrey, qui l'a tout d'abord conduit au musée. Oscar II° s'y est arrêté longuement et a examiné en connaisseur les merveilleuses tapisseries qui y sont exposées. Il s'est ensuite rendu dans les ateliers de réparation. Le travail délicat de la rentraiture l'a fort intéressé.
Dans l'atelier de haute lisse, le roi s'est entretenu quelques instants avec une jeune suédoise, Mlle Eoger, élève d'une école de tapisserie encouragée par la reine de Suède et venue tout dernièrement de Stockholm pour se perfectionner aux Gobelins dans son métier.
Oscar II° s'est retiré à quatre heures et demi enchanté de sa visite. il a félicité M. Guiffrey de l'habile et heureuse direction qu'il a su donner aux travaux d'art effectués aux Gobelins et qui placent, à ce point de vue spécial, notre pays au premier rang des nations.
LE PETIT JOURNAL - 14 mai 1902
Tranche héraldique
Lors de votre visite à , vous pourrez peut-être remarquer la présence de blasons, anciens ou modernes, sur de vieilles portes, murs ou vitraux.
Cliquez le lien correspondant à l'ordre d'Ancien Régime qui vous intéresse
Dicton
Quand trono au mes de febrié,
Fai de la tino un ajouquié
Quand il tonne en février
Fais de la tonne un juchoir
Saint Gildas - Abbé en Bretagne - V° siècle
Écossais, le Gweltaz breton, francisé en Gildas et naquit vers la fin du V° siècle. Ayant étudié en Bro Kembre - Pays de Galles, Gildas, dit Ar Fur - Le Sage, missionnaire, convertit les Cambriens. Ordonné prêtre en l'an 518, et après un passage en Irlande, il vient en Bretagne. S'installant à l'Île de Houat, y passe plusieurs années, et rejoint la Presqu'île de Rhuys où il édifiera un monastère renommé qui, bien que sécularisé, existe toujours. Il meurt le 29 janvier 565, sans doute à Houat.
Aide à personne en danger - Année 1884
Un prisonnier d'un pénitencier très dur discute avec un nouveau :
- Moi, j'ai pris 10 ans pour escroquerie, et toi ?
- 20 ans pour secourisme.
- Arrête, tu déconnes, personne n'a jamais pris 20 ans pour secourisme, même pas un an !
- Si, si, ma belle-mère saignait du nez, alors je lui ai fait un garrot autour du cou pour arrêter l'hémorragie.