Méreuil est une petite commune des Hautes-Alpes arrosée par le Buëch.
Bien calme et bien tranquille, Méreuil vous permettra de bien belles randonnées et découvertes dans les environs.
Si les marches et suées sous le soleil vous barbent, vous pourrez aller vous baigner au plan d'eau de Saint-Sauveur puis lézarder au soleil.
![]() | Français | Méreuil |
![]() | Occitan | Mereulh |
![]() | Population | 100 hab |
![]() | Gentilé | méreuillais |
![]() | Superficie | 10,61 km² |
![]() | Densité | 9.43 hab/km² |
![]() | Latitude | 44°23'60" N |
![]() | Longitude | 5°44'60" E |
![]() | Latitude | 44.383301 |
![]() | Longitude | 5.733330 |
Vous pouvez soutenir notre projet en sponsorisant les pages de cette commune pour un budget modique et intéressant.
N'hésitez pas à cliquer le logo et y découvrir notre proposition de partenariat.
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Mereuil, en vivaro-alpin Mereulh est attesté dès 739 dans le cartulaire de l'Abbaye de Saint Hugues sous la forme Mauriovilla. Nous retrouvons ce toponyme dans les archives de l'abbaye de Cluny sous la forme latine Mauririo Villa.
C'est en 1120 que nous voyons la première graphie proche du toponyme actuel avec un Merul.
Ce toponyme dérive probablement de l'anthroponyme romain Mauriolus.
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Mon Papa est plus fort que le tiens - Année 1900
Deux moutards discutent et vantent les qualités de leur père respectif :
- Mon papa à moi, a connu trois régimes : La Royauté, l’Empire et la République.
- Le mien en a connu un de plus.
- Lequel ?
- Le régime cellulaire...
François de Sales - Évêque de Genève
Saint patron des sourds-muets - il protégea un certain Martin, sourd-muet, Saint François de Sales fut aussi évêque de Genève bien sue résidant à Annecy. Destiné à une carrière juridique, en proie aux doutes et, pour utiliser une expression actuelle, Mal dans sa peau, François embrasse la vie religieuse après avoir lu une prière écrite par Saint Bernard. Brillant, fréquentant les penseurs de son temps, il introduit plusieurs ordres religieux en Savoie, apporte la paix à Sainte Jeanne de Chantal, fonde l'ordre des Visitandines, qui apporteront vie religieuse aux femmes de faible santé. François écrit aussi beaucoup, dans ses Gazettes, ce qui lui vaudra d'être aussi le saint patron des journalistes. Né un 21 août 1567, il meurt le 28 décembre 1622 à Lyon.