Saint-Jean-Brévelay porte:
écartelé: au 1°, de sable à une tête de crosse abbatiale d'or ; au 2°, de gueules à trois mâcles d'or ; au 3°, de vair ; au 4°, de sable au coq hardi d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-Jean-Brévelay
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
À Saint-Servant, mais aussi ailleurs, il était autrefois affirmé par les Mammoù-diegezh - les accoucheuses que si une femme accouche à la marée montante d'un garçon - futur pêcheur, il n'y aura pas d'orage dans la journée, même si le ciel menace.
Si, dans la région, malgré un ciel lourd et chargé, vous ne subissez aucun orage, sachez qu'une famille vient de voir naître un fils et que la marée était montante !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Saint-Jean-Brévelay ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Saint-Jean-Brévelay, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ 40 heures sous terre
Ils sont spéléologues.
Ce dimanche de 1948, à Montsalier, commune française des Alpes-de-Haute-Provence, ils se lancent dans les profondeurs pour explorer le Gouffre du Caladaire découvert en 1942 par un groupe d'Apt.
Ils visent un record mondial et resteront 40 heures bloqués dans ce terrible gouffre en tentant de battre le record de Chevalier, spéléologue ayant atteint 672 mètres dans le réseau de Crolles qui descendit 672 m sous le niveau de la mer...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Saint-Jean-Brévelay ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Saint-Jean-Brévelay ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Jésuite - XVII°
Né un 31 janvier 1597, fêté le 16 juin, à Fontcouverte, Aude, Jean-François fait vœux religieux et entre tôt chez les Jésuites. Muté prédicateur au Puy, il parcourt inlassablement le Velay pour prêcher à tous et apaiser les douleurs des Guerres de Religion. Il meurt épuisé et gelé au cours d'une mission au bourg de Lalouvesc dans le Massif Central.
Nous étions le 31 décembre 1640.
N'eus ket hardizoc'h eget roched un miliner
Rag bep mintin e pak ul laer ! Rien n'est plus infatigable qu'une cravate de meunier
car elle tient tous les matins un voleur à la gorge !
⤇ Sacrés yankees - Année 1937
Le directeur général d'un grand hôtel de New-York visite les services de son établissement. Soudain, il remarqua un cireur de chaussures faisant triste mine. Il lui donne une tape amicale et lui demande:
- Hé bien , mon ami, soyez donc heureux, moi aussi, j'ai été cireur de chaussures et actuellement je suis directeur général de l'hôtel. C'est l'Amérique !
La mine du cireur se fait plus sombre et il répond:
- Voyez-vous, j'étais directeur de l'établissement et maintenant je suis cireur de chaussures ; c'est aussi l'Amérique !
Nous remercions les différents contributeurs de Saint-Jean-Brévelay.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !