Briançon

Briançon: Le soleil perçait la vallée...

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■ Célébrité de Briançon

Ils sont nés à Briançon et ont marqué son histoire.

Connaissant notoriété locale, nationale ou internationale, ils méritent de ne pas être les oubliés de l'Histoire et d'être mieux connus.

Hommes d'exception ayant marqué la commune, ils étaient militaires ou religieux, écrivains, musiciens, peintres ou autres activités diverses et variées...

Français ⤇ Briançon
Occitan ⤇ Briançon
^{( Occitan )}

Population ⤇ 11 600 hab.
Gentilé ⤇ briançonnais

Superficie ⤇ 28,07 km²
Densité ⤇ 413.25 hab./km²

Latitude ⤇ 44° 54 '0" N°
Longitude ⤇ 6° 39 '0" E°

Latitude ⤇ 44.900002°
Longitude ⤇ 6.650000°

Rue Bric et Brac

⤇ CAIRE-MORAND Antoine - Cuisinier
^{Briançon : 27-06-1747 - : 00-00-0000}

Natif de Briançon, ce graveur sur pierres fines fonda un atelier pour la taille du cristal de roche en 1778. Il recevait une subvention d'état, prospérait, était bien dirigé. Son activité fût arrêtée en 1793. Sans doute par faits de Révolution Française.

⤇ FINÉ de BRIANVILLE Claude-Oronce - Écrivain
^{Briançon : 08-04-1608 - Saint-Benoît : 00-00-1674}

Claude, fils d'Oronce, devint jésuite, conseiller et aumônier du roi Henri IV°. Il fût aussi héraldiste, dessinateur, auteur de traités sur les devises, le blason son Art ainsi que sur l'histoire de France. Ses écrits furent de grands succès de l'époque.

⤇ FINE Oronce - Géographe - Historien
^{Briançon : 20-12-1494 - Colmesnil-Manneville : 08-08-1555}

Géographe né à Briançon

⤇ FROMENT Antoine - Juriste
^{Briançon : 00-00-0000 - Colmesnil-Manneville : 00-00-0000}

Cet enfant de Briançon devint avocat au Parlement et écrivit un traité intitulé 'Essai de l'avocat Froment sur l'incendie de sa Patrie', cet essai parlant du grand incendie de Briançon en 1624. Jules Roman, dans son tableau du département, signale que le plus grand intérêt de ce livre est... sa rareté !

⤇ MORAND Jean-Antoine - Architecte
^{Briançon : 10-11-1727 - Lyon : 24-01-1794}

Cet architecte, natif de Briançon, construisit le Grand Théatre de Lyon ainsi que le pont qui porte son nom. Mal lui en a pris, souhaitant y installer un péage pour rentabiliser son investissement, il fût condamné à mort par le tribunal révolutionnaire de cette ville et passa de vie à trépas sur l'échafaud.