Il est splendide ce village de Saint-André-de-Rosans. Les ruines du Prieuré marquent de leur poids et de leurs fresques cette charmante commune des Hautes-Alpes qui mérite bien le détour. Bien que petit, le centre du village mérite aussi quelques pas avec sa tour carrée maintenant classée aux Monuments Historiques. Si le cœur vous en dit, vous pousserez la balade et irez admirer de près les Boules de grès de Saint-André ; elles sont visibles au Serre d'Autruy.
![]() | Français | Saint-André-de-Rosans |
![]() | Occitan | Sant-Andreu-de-Rosans |
![]() | Population | 152 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 36,61 km² |
![]() | Densité | 4.15 /km² |
![]() | Latitude | 44°23'38" N |
![]() | Longitude | 5°31'52" E |
![]() | Latitude | 44.377100 |
![]() | Longitude | 5.514380 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Saint-André de Rosans, en vivaro-alpin Sant Andreu de Rosans, ancien prieuré conventuel de Cluny fondé en 988, est attesté au XI° siècle pour la première fois connue dans les écrits ; il apparaît sous la forme latine Sanctus Andrea Rosanensis. Nous le retrouvons en 1075 dans une bulle clunisienne sous la forme Cella sanctis Andree.
Premier disciple du Christ, Saint André est le frère de Saint Pierre.
d'argent au sautoir de gueules chargé d'une salamandre d'or et accompagné de quatre mouchetures d'hermine de sable
Patrimoine de Saint-André-de-Rosans
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Saint-André-de-Rosans
Célébrités de Saint-André-de-Rosans
Nés dans la commune, ils connurent une certaine notoriété nationale ou internationale, régionale ou locale et méritent d'être mieux connus.
Ils étaient écrivains, militaires, religieux, peintres ou autres activités et ils brillèrent dans leur domaine et sont célébrités de Saint-André-de-Rosans.
Glissement de terrain
Saint-André-de-Rosans, 27 décembre - À la limite du département de la Drôme, des glissements de terrains et des éboulements de plusieurs centaines de mètres cubes ont obstrué à Saint-André-de-Rosans sur plus de cinq cents mètres la route nationale 549, de Nyons à Marseille. Des pylônes de support de la ligne à haute tension ont été renversés.
L'ACTION FRANÇAISE - 18 février 1885
Tranche héraldique
Lors de votre visite à , vous pourrez peut-être remarquer la présence de blasons, anciens ou modernes, sur de vieilles portes, murs ou vitraux.
Cliquez le lien correspondant à l'ordre d'Ancien Régime qui vous intéresse
Dicton
Quand trono au mes de febrié,
Fai de la tino un ajouquié
Quand il tonne en février
Fais de la tonne un juchoir
Dismas, le bon larron - Saint - I° siècle
Cruxifié avec Jésus-Christ, il est le Bon Larron qui, après avoir péché terriblement, deviendra le premier saint de la chrétienté. Après sa vie de larçins et brigandages, Dismas reconnut Jésus comme le Messie et fit contrition de ses péchés innombrables ; cet acte lui ouvrira les portes du Paradis.
Que devint Gesmas, l'autre larron, persistant dans ses péchés ? Dieu ou le Diable seuls le savent...
Calino le Géographe - Année 1896
Calinaux, qui n’a que de très vagues notions des antipodes mais est un spécialiste en Géographie, n’est pas peu surpris de voir Li-Hang-Chang et sa suite vaquer le jour à leurs occupations et dormir la nuit comme de simples Européens.
- Voilà qui est étrange ! s’écrit-il. Je m’étais pourtant laissé dire que les Chinois se lèvent quand nous nous couchons et se couchent quand nous nous levons !