

La Trinité-Porhoet, en Pays Porhoet et au cœur de Bretagne, est riche de son église abbatiale et de ses multiples charmes comme les rives du Ninian ou l'étang de la Peupleraie. Vous pourrez aussi vous laisser porter par la Place du Martray et autres lieux. Quoiqu'il en soit, laissez parler votre imagination et voguer votre esprit pour revivre cette petite commune chatoyante sous le soleil breton...
Merci à wikipédia et autres d'arrêter de plagier nos textes et travaux
Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.

La Trinité-Porhoet, en breton An Drinded-Porc'hoed, est attesté en 1163 sous la forme Sanctae Trinitatis de Porhoit dans le cartulaire de Redon. Nous retrouvons ce toponyme dans les archives du duché de Rohan-Chabot en 1251 sous la forme Villa de Trinitate.
La Trinité-Porhoet est placée sous la protection de la Sainte Trinité chrétienne représentant le Père, le Fils et Saint-Esprit. La forme de 1251 rappelle que ce topoyme peut être lié à l'existence d'une villa gallo-romaine. Les formes anciennes de Porhoet se retrouvent en Pourhoet, Poutrecoet, Potrocoet, ... et semblerait dériver du latin Pagus trans Sylvam, le pays à travers la forêt...

La Trinité-Porhoet porte:
de gueules au donjon couvert d’or, ajouré et maçonné de sable ; au franc-canton d'hermine
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Trinité-Porhoet

Autrefois, quand les enfants avaient des vers, dans l'Ain, il était usage d'invoquer Saint Médard.
Récitez cette incantation pour traiter les vers et soigner celui de votre choix:
Vous, Saint Médard, qui avez tous les pouvoirs, ôtez les vers de X. Ce sont des alliés qui sont toujours prêts à les étrangler. Ils sortent du néant, vous pouvez les y faire rentrer.

Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.

Au Moyen-Âge, il était certains jours positifs pour se mettre en route ; d'autres étaient profondément négatifs.
Si vous souhaitez vous mettre en route, il est préférable de partir un Mardi ; le Vendredi vous sera par contre jour néfaste.
Nous ne savons si cela, avec notre modernité, est toujours d'actualité mais préférons vous transmettre cette information.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par La Trinité-Porhoet ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de La Trinité-Porhoet, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.

⤇ L'école de Saumur
Dans les parages ministériels, le bruit court que l'école militaire de Saumur pourrait bien être supprimée et réorganisée sur le même pied que l'école de Saint-Maixent.
Mr le colonel de Roys, commandant l'école de cavalerie de Saumur, va être mis en disponibilité. Les journaux radicaux l'accusent d'être légitimiste et c'est, paraît-il, un crime irrémissible. Son prédécesseur, le général de l'Hotte, avait été remercié de ses services pour le même motif. Nous ignorons si un tel reproche adressé à nos deux braves militaires est fondé, comme nous le désirons.
Ce qui est certain, c'est que M de Roys, comme M de l'Hotte, comme la plupart des officiers de cavalerie, sont des hommes de bon ton et M. Farre, comme la plupart des républicains, est bien près de confondre bonne éducation avec opinion royaliste.
Cette mesure projetée a tout spécialement froissé le général de Gallifet, prince de Martigues, qui sort lui-même des rangs de la cavalerie et manifeste un véritable écoeurement. Ses amis assurent qu'il parle de se brouiller avec la République.
LE PETIT BRETON, 1° février 1881
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Où donc est le cimetière ?
Très rares sont les communes à ne pas avoir de cimetière sur leur territoire communal.
La Haute-Beaume, petite commune française des Hautes-Alpes, est de celles-là et, si vous y allez, vous pourrez remarquez qu'aucun cimetière n'est présent sur le territoire communal.
Ne passez donc pas des heures à vous interroger: de mémoire d'homme, nous a confié Monsieur le Maire, il n'y a jamais eu de cimetière dans la commune !
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de La Trinité-Porhoet ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À La Trinité-Porhoet ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Veuve - XII° siècle
Hongroise, Élisabeth, est fiancée à 4 ans et mariée à 14 au Landgrave de Thuringe ; le couple est sincère. Rencontrant des franciscains, se mettant au service des pauvres, elle est veuve à 20 ans et attend son 3° enfant. Chassée par sa belle-famille car refusant de se remarier ; elle se retrouve habiter une porcherie dit la légende. Son oncle, évêque de Bamberg, la voit revêtir la bure, sa famille se charge de l'éducation de ses trois enfants. Elle meurt à 24 ans en 1231.

Na pa rafe ar vilin nemet un dro krenn
Ar miliner a zo sur deoc'h ur grampouezenn !Le moulin ne fait-il qu'un tour
Le meunier est sûr d'avoir sa crêpe !

⤇ Chevaux de bois - Année 1905
M. Joseph Prudhomme s’arrête devant un manège de bois. Il s’exclame:
- Quand je pense que le gouvernement voulait interdire le jeu des petits chevaux ! Mais n’est-ce pas ce qui donne à nos enfants le goût de la cavalerie ?
Nous remercions les différents contributeurs de La Trinité-Porhoet.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !