Pierrerue est une commune en département de Alpes-de-Haute-Provence qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 500 habitants.
![]() | Français | Pierrerue |
![]() | Provençau | Peirarua |
![]() | Population | 500 |
![]() | Gentilé | pierruriens |
![]() | Superficie | 10,86 km² |
![]() | Densité | 46.04 /km² |
![]() | Latitude | 43°57'0" N |
![]() | Longitude | 5°50'60" E |
![]() | Latitude | 43.950001 |
![]() | Longitude | 5.833330 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
d'azur à deux grandes lettres P et R d'argent accompagnées en chef d'une étoile du même
Patrimoine de Pierrerue
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Pierrerue
Dicton
Quand trono au mes de febrié,
Fai de la tino un ajouquié
Quand il tonne en février
Fais de la tonne un juchoir
Donatien et Rogatien - Saints - IV° siècle
L'Empereur Maximin voyant d'un très mauvais œil le développement du Christianisme, courant religieux de l'Empire déstabilisant un Empire Romain fatigué, tenta d'éliminer les Chrétiens en les persécutant. Convertis à la nouvelle Foi par un certain Similien, Donatien, baptisé, et son frère Rogatien, encore cathécumène, furent arrêtés dans leur bonne ville de Nantes. Comme Chrétiens, après avoir subit tortures, ils furent condamnés à avoir la tête tranchée. Ils passèrent leur dernière nuit ensemble, en prière, et furent exécutés au petit matin le 24 mai vers l'an 304. Leurs reliques furent transférées à Orléans.
Commentaires d'hommes - Année 1905
Deux amis sont sur le boulevard et regardent les femmes passer en faisant des commentaires.
- Pas mal celle-là, quoiqu’elle ait la bouche commune.
- Oh ! comme une ? Tu peux dire comme deux.