

Au bout de la vallée du Drac, dépassant Champoléon, vous arriverez à Orcières, commune des Hautes-Alpes. Orcières est non seulement station de ski avec Orcières 1850 et ses 100km de pistes, mais aussi un lieu de bien charmantes balades comme celles que vous pourrez réaliser à partir de Prapic, hameau ayant gardé tout le plaisir de son histoire, ou que vous pourrez faire sur tout le territoire communal.
Nous apprécions nos balades à Orcières et, croyez-nous, bons indigènes haut-alpins, nous dépensons beaucoup d'énergie sur ces pistes et chemins.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.

Le Orcieras vivaro-alpin s'est francisé en Orcières.
Orcières se retrouve cité dans le cartulaire de l'abbaye de Durbon en 1166 sous sa forme latine Urseria que l'on pourra aisément rapprocher du français Oursière, tanière d'un ours.

Orcières porte:
d'argent au chef de gueules, à un ours rampant de sable tenant de ses pattes une couronne d'or brochant sur le tout
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Orcières

Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !

Autrefois, à Bouligneux, comme dans les Dombes, les fièvres liées aux marais et étangs étaient importantes et faisaient des ravages.
Pour s'en protéger, les habitants, au solstice d'été, allaient près du cours de la Chalaronne y adorer le Soleil au Levant.
Ceci fait, ils jetaient un soleil de paille dans la rivière en remerciant le soleil.
La guérison était assurée !

Les Inuits, autrefois appelés Eskimos, étaient de redoutables navigateurs et, sur leurs frêles esquifs - Kayak étant un mot issu d'une langue inuit via le danois, ils parcouraient parfois de longues distances.
Les Inuits de Sibérie croyaient qu'à l'horizon, le ciel était si bas qu'il était possible de le toucher avec une pagaie. Certains navigateurs inuits, le soir lors de leurs veillées décorées d'histoires de pêches et de chasses sur des mers déchainées, affirment avoir atteint les limites océaniques et touché le ciel sans difficultés.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Orcières ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Nés dans la commune, ils connurent une certaine notoriété nationale ou internationale, régionale ou locale et méritent d'être mieux connus.
Ils étaient écrivains, militaires, religieux, peintres ou autres activités et brillèrent dans leur domaine ou marquèrent les esprits et l'Histoire locale comme, à titre d'exemple,
Ils sont célébrités de Orcières
Habitants de Orcières, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Chute meurtrière
Orcières, 17 août - On a retrouvé le corps fracassé, et encore vivante, au pied d'un pic voisin de Prapic, une jeune fille d'Orcières qui était dans la montagne entrain de cueillir des Edelweiss.
Partie le matin, elle devait rentrer à midi et c'est son père, aidé des voisins, qui s'est lancé à sa recherche.
En route, la malheureuse jeune fille a rendu le dernier soupir.
LA JUSTICE - 21 août 1906
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ 40 heures sous terre
Ils sont spéléologues.
Ce dimanche de 1948, à Montsalier, commune française des Alpes-de-Haute-Provence, ils se lancent dans les profondeurs pour explorer le Gouffre du Caladaire découvert en 1942 par un groupe d'Apt.
Ils visent un record mondial et resteront 40 heures bloqués dans ce terrible gouffre en tentant de battre le record de Chevalier, spéléologue ayant atteint 672 mètres dans le réseau de Crolles qui descendit 672 m sous le niveau de la mer...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Orcières ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Orcières ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Sainte - III° siècle
On ne sait rien de Victoire si ce n'est qu'elle est citée dans un sermon de Saint Augustin à Hippone, actuelle Annaba, Algérie. À Hippone et sa région, on vénérait vingt martyrs des premiers siècles, dont Valériane et l'évêque Fidentien. Saint Augustin, Père de l'Église, né le 13 novembre 354, à Tagaste, actuel Souk-Ahras, Algérie, écrit ce sermon vers les années 400.

⤇ Repas avec La Palisse - Année 1905
Monsieur de la Palisse préside le banquet du concours régional des Basses-Alpes. Au dessert, l’un des adjoints l’avertit qu’il est temps de commencer la série de toasts. Monsieur de la Palisse assez embarrassé, se lève cependant et commence ainsi:
- L’usage des repas remonte à la plus haute antiquité.
Nous remercions les différents contributeurs de Orcières.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !