

Le petit bourg breton de Bono, près d'Auray, est un incontournable du Bro an Alre - le pays d'Auray. Surplombant son aber - ria, le village fut longtemps relié à Auray par un pont suspendu datant de la fin du XIX° ; le vieux pont a été doublé d'un viaduc en béton ultra-moderne. Nous n'y perdons pas au change car, étant plus élevé que l'ancien, il nous offre une vue magnifique sur l'aber et le village.
Lors de votre Tro Breizh - Tour de Bretagne, n'hésitez surtout pas à faire une halte au Bono !

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.

Le Bono dérive du Breton Ar Bonoù. Certains lient ce toponyme au nom des jardinets du village ; Bon - prononcer bonne - Bonoù au pluriel, substantif masculin, signifie borne, bornes et, sans doute, est-il possible de trouver là, le sens de ce toponyme. Nous pourrons faire un rapprochement avec Ambon, autre commune du Morbihan.
Ar Bonoù - Le Bono apparaît très tardivement dans les écrits car nous n'en trouvons trace qu'en 1815 sous sa forme actuelle.

Le Bono porte:
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Le Bono
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. Le Bono, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !

Il existe sur l'île russe de Sakhaline, face au cap Jonquière, trois impressionnants pitons rocheux de taille décroissante.
Il s'agit de trois frères nivkhes ayant vu une baleine échouée sur la côte. Souhaitant nourrir leur ours, ils se rendirent près du cétacé.
Les femmes nivkhes, dit la croyance, ne doivent pas regarder la mer sous peine de malheur. La sœur des trois frères, passant inopportunément, les regarda ; cela pétrifiant immédiatement les trois frères. Vous verrez toujorus cette baleine et cet ours, eux aussi pétrifiés !

Les vendanges terminées, il était us chez les habitants d'Aluze, département français de Saône-et-Loire, d'offrir une grappe de raisin à tout pauvre le demandant.
Cet usage était naturel et très respecté par ces gens charmants habitant la commune.
Espéront que cette noble tradition ne soit pas oubliée !

Bletterans, comme tous autres terroirs, fut le lieu de croyances et superstitions liées à la religion ou au fond pré-chrétien. Nombre de ces croyances et superstitions n'ont pas disparu, elles ont simplement changé de genre, de lieu et de mode.
Il est rapporté que les ménages bressans avaient grand soin de ne pas cuire le pain le jour des Rogations.
Enfreindre cet usage fera moisir vos miches tout au long de l'année.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Le Bono ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Le Bono, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant Le Bono.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Bis, Sire, Bis
Les Rois furent toujours plus accessibles que les Présidents.
Louis XVI, rentrant de Cherbourg pour Versailles au rythme lent de son carrosse, passa à Cambremer, commune française du Calvados ; il était suivi d'une foule d'habitants acclamant le cortège royal.
Un paysan de Cambremer vint au côté du carrosse et chanta une louange en l'honneur du Roi. Louis XVI°, enchanté demanda un Bis. Le paysan chanta de nouveau et le Roi lui donna pièces d'argent.
Mettant l'argent en poche, l'homme, futé, ressorti sa main et dit alors Bis, Sire, Bis...
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Le Bono ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Le Bono ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Évêque - III° siècle
Âgé, Narcisse est élu évêque de Jérusalem. C'est lui qui fixa le jour de Pâques un dimanche ; la Pâques juive était le 14 du mois de Nisan. Comme bien des saints en ces temps reculés, Narcisse multiplia les miracles, dont celui de l'Huile de la Veillée de Pâques qui éclairait le lieu de culte où se déroulait la Veillée de Pâques. Manquant, Narcisse fit verser de l'eau dans les lampes ; elle se changea en huile. Il meurt en 212.

Gwell eo gwelet ki an kounnard
Evit heol tomm a miz Genver. Mieux vaut voir chien enragé
Que chaud soleil en janvier.

⤇ Business is business - Année 1937
Paul, le grand frère, n'arrête pas de gifler son petit frère, Henri. Leur père, fatigué de ce fait, dit alors à Henri:
- À chaque fois que Paul te gifle, je te donnerai 2 sous et pas à lui.
Depuis lors, Paul n'arrête pas de gifler son frère, pour un oui ou pour un non, et le petit frère de se précipiter à la caisse toucher son indemnité ; le soir, ce que ne sait pas le Père, les deux frères partagent la recette.
Nous remercions les différents contributeurs de Le Bono.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !