Agréablement baignée par l'Aulne qui y décrit une large boucle, Châteaulin est une plaisante commune de Cornouaille bretonne située en département du Finistère. La commune a organisé et balisé différents circuits vous permettant de visiter le territoire châteaulinois qui ne manque pas ni de charmes ni d'attraits...
Merci à wikipédia et autres d'arrêter de plagier nos textes et travauxDécouvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
C'est en 1038 qu'est attesté Châteaulin pour la première fois connue dans les écrits où il se retrouve en latin sous la forme Castellinum et Castellin. En breton, c'est Kastellin, de signification aisée à comprendre.
Châteaulin porte:
d’azur au château d’argent girouetté d’or, accompagné en pointe d’un saumon aussi d’argent posé en fasce
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Châteaulin
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.
En Bretagne, certains ont le don de voir les intersignes, ces présages annonçant la mort d'un proche. Certains objets favorisent ces visions.
Les menuisiers fabriquant les cercueils et ayant le don de ressentir les intersignes, savent si l'un ou l'autre doit mourir dans le terroir: les planches dédiées aux cercueils s'entrechoquent la nuit précédent le décès ; suivant le bruit, ils savent aussi si la mort arrive le matin ou le soir...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Châteaulin ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Châteaulin, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant Châteaulin.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
⤇ Incendie
Châteaulin - 23 juin - Mardi, un incendie s'est déclaré, vers huit heures du matin, au haut de la Grand'Rue, dans une maison occupée par les époux Gourmelon et autres. Grâce au concours de la population, au dévouement des pompiers, on était maître du feu au bout d'une heure et demie. Tout se borne à des dommages matériels. La cause du sinistre ne peut être que l'imprudence.
LE FINISTÈRE - Samedi 29 juin 1872
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Découverte à Tumiac
Le 21 juillet 1853, en Bretagne, une curieuse découverte fut réalisée à Arzon dans la presqu'île de Rhuys.
La tradition rapportait qu'un tunnel partait depuis le Tumulus de Tumiac, passait sous le chromlec'h d'Er Lannig et menait au Cairn de Gavrinis. Bien sûr, ce souterrain voyait somptueux trésors ajoutant diamants, émeraudes et autres pierres aux ors et argents encombrant le souterrain et ses multiples salles. Émoustillés par la promesses de ces trésors, un trou de 30 centimètres fut creusé entre deux dalles de la Butte de César, autre nom du tumulus. La découverte fut impressionnante, non pour les chercheurs de trésors mais pour les archéologues de l'époque et membres de la Société Polymatique du Morbihan qui y dépêcha plusieurs membres.
Les fouilles réalisées permirent de découvrir multiples artefacts de ce monde néolithique que l'on appelait encore période druidique.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Châteaulin ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Châteaulin ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Ermite - XII° siècle
Renaud, aussi connu sous le nom de Régnaud, fait choix de religion et devient chanoine en la ville de Soissons. Appelé en solitude, il devient disciple du Bienheureux Robert d'Arbrissel, ermite et moine breton en la forêt mayennaise de Craon puis se retire dans la forêt de La Mélinais, en commune de La Flèche où il terminera son existence terrestre.
Il y meurt en l'an 1104.
Ber, ber, miz C'hwevrer, karg ar poulloù hag ar foz,
Me ho dizec'ho en un deiz hag un noz.Coule, coule, Février, remplis mares et fossés,
En un jour et une nuit je les dessécherai.
⤇ La tuile - Année 1905
Un promeneur ayant été atteint assez grièvement par une tuile tombant du toit d’une veille maison est transporté chez le pharmacien. Un badaud intervient:
- Certainement que le coup aurait été moins dur si la maison n’avait été couverte que d’hypothèques...
Nous remercions les différents contributeurs de Châteaulin.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !