

Bayankhongor Khot est une commune de 26.252 habitants en département de Bayankhongor qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.
Bayankhongor Khot - Баянхонгор хот et le nom du chef-lieu de cet aïmag dont nous n'avons retrouvé forme ancienne à la Bibliothèque Nationale de Mongolie.
Ce toponyme est formé de Хот - Khot - ville, village - que vous prononcerez un peu comme rote et Баянхонгор - Bayankhongor qui se découpe en Баян - Bayan = riche, opulent, fertile, opulent, copieux, prononcé Bayanne ; et Хонгор - Khongor que vous prononcerez un peu comme rongore et signifiant cher, beau, lumineux, propre, merveilleux. Nous pourrions comprendre donc ce toponyme comme définissant un lieu merveilleusement fertile - sens le plus probable, ou, si l'on prend la précision de E. Murzaev donnant à ce Хонгор - Khongor le sens de rouge clair un fertile lieu rouge clair comme les mélèzes en automne.

Bayankhongor Khot porte:
cet emblème symbolique
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Bayankhongor Khot

La route allant de Ioujno-Sakhalinsk au village d'Okhotskoye recèle un endroit extraordinaire voyant les lois de la physique s'inverser.
25 km après Ioujno, il faut accélérer en descente, freiner en montée et remarquer que l'eau coule vers le côté de la chaussée.
Le plus impressionnant est que les GPS s'expriment soudain avec une voix masculine et vous disent de faire attention aux ours traversant hors clous !

Comme partout, Saint-Véran voyait certains rites pratiqués lors des fiançailles et du mariage.
Le Rite de la Barrière, aux racines bien profondes, voyaient le nouveau marié devoir payer obole s'il n'était originaire de Saint-Véran. Deux tables placées à l'entrée de la commune et chargées de verres et bouteilles étaient reliées par un ruban fermant le chemin. Le nouveau marié devait déposait obole au bénéfice de le jeunesse, obole qui ouvrait la route.

Les intersignes annoncent le destin funeste d'un être cher, proche ou voisin, ou être aimé.
Notre monde, se croyant moderne, est devenu sourd et aveugle: il ne sait plus ressentir le monde surnaturel. Coupé de la vie, il ne voit plus venir l'Ankou, ni entend sa charrette grinçant dans la nuit...
En cette fin de XIX° siècle, à Pluzunet en Bretagne, les gens savaient encore, écoutaient encore, ressentaient encore...
La sépia, un liquide brun-noir secrété par des glandes ventrales de la seiche, est aussi connue sous le nom d'encre de seiche ; l'animal s'en sert pour dissimuler sa fuite. Les photographies sépia sont de cette couleur brun-noir donnant ce charme de l'ancien.
Les photographies, gravures ou images d'époque sont regroupées sous cette rubrique.
Si vous souhaitez partager d'anciennes photographies, n'hésitez pas: elles sont les bienvenues !
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Bayankhongor Khot ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Bayankhongor Khot, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ La nécropole de Kergroas
Le XIX° siècle fut période de grandes et multiples recherches archéologiques.
À Loc-Brévalaire, charmante commune bretonne en Finistère, au début du XIX°, quelques archéologues qui ne portaient pas encore ce nom mais celui d'antiquaires, furent intrigués par un microtoponyme situé près du hameau léonard de Kergroas, en ce Loc-Brévalaire. En effet, ce nom de Coz Kastell - Kastel Kozh donné à une parcelle les intriguait ; il y entreprirent des fouilles s'avérant rapidement bien intéressantes.
Le site vit premières fouilles dans les années 1840 puis un deuxième train fut réalisé vers 1880. Ces fouilles révélèrent la présence de cette villa gallo-romaine ainsi qu'une nécropole et multiples urnes funéraires attribuées aux gallo-romains dans le champ appelé Liorzh an Neu - Liors neud en français.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Bayankhongor Khot ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Bayankhongor Khot ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Moine - XI° siècle
Moine dans un monastère qui périclitait, les six derniers moines le choisirent comme abbé de leur abbaye basée à Nogent-sur-Marne. Dynamique, Geoffroy relance ce monastère qui devient florissant. Devenu Évêque d'Amiens, écrasé de soucis liés aux seigneurs du coin qui menaient vie impossible aux habitants de la ville, il se retire en Grande Chartreuse. Calme de courte durée car il doit revenir à ses fonctions à Amiens. Il meurt à Soissons quelques mois après. Le rejetant, aucun membre du clergé d'Amiens ne réclamera son corps.

Vilain enrichit, ne connaît ni parents ni amis

⤇ Les aveugles - Année 1895
Deux aveugles causent politique:
- Je ne partage pas votre manière de voir, mon Cher !
- Pourtant, dit l’autre, il n’y a qu’à ouvrir les yeux pour se convaincre...
Nous remercions les différents contributeurs de Bayankhongor Khot.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !