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Seine-et-Marne

Étymologies et toponymes

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TSeine-et-Marne: Étymologies et toponymes

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes.

Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naître nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons ces néo-toponymes passe-partout, tristes, effrayants et déprimants appliqués sans réflexion à des lieux chargés de belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé

Seine-et-Marne

Seine-et-Marne
 
tPopulation1 310 646
tGentiléSeine-et-Marnais
 
tSuperficie5 915,00 km²
tDensité221.58 /km²
 
tLatitude0°0'0" N
tLongitude 0°0'0" E
 
tLatitude0
tLongitude0

Rue Bric et Brac

tSeine-et-Marne: Étymologies et toponymes

TLe département

Le département des Seine-et-Marne fut crée en 1790 comme l'immense majorité des départements français. Il soit son nom à deux hydronymes, fleuve et rivière arrosant son territoire que sont la Seine et la Marne.

TLa langue locale: Le Français

La langue parlée en ce département a toujours été le Français, avec quelques nuances locales. Née du bas-latin, la langue française, langue de Paris et de ses environs, était langue du Roi de France. Datée de 1539, l'Ordonnance de Villers-Cotterêts imposera la langue française comme langue de justice et d'administration dans tout le Royaume de France. Ainsi elle remplace le latin dans ce rôle et, leur refusant tout génie propre, voue les langues comme l'occitan, le breton, le basque et autres langues du Royaume à une lente et inexorable destruction...

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tToponymes communaux

PNos toponymes

Datant souvent des temps les plus anciens, images de l'Histoire, de ses hommes, de leurs langues, nos toponymes sont reflets de l'occupation des territoires par les civilisations qui se succèdent.

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes. Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naitre nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons les néo-toponymes passe-partout, tristesse effrayante, déprimante et appliqués sans réflexion à des lieux chargés de si belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé ; combien de nouvelles communes aux noms à faire pleurer pierres et monuments ; simple plaidoyer pour nos toponymes, si riches, si beaux, si maltraités par facilité intellectuelle.

Il n'y a pas si longtemps, champs, prés et lieux, si petits soient-ils, avaient un nom: un microtoponyme définissant ce lieu avec précision et fort riche d'information. Ces noms, avec une modernité toponymique, se perdent dans l'oubli. Nous tentons de les inscrire quand découverts et localisés fiablement.