de gran, n'espéra
En juin, vent du soir
Pour le grain, bon espoir.
■ La banqueroute - Année 1889
Un commerçant ramène diner à la maison un vieil ami de collège que de nombreuses pertes subies en Bourse ont ruiné.
- Ma chère amie, dit-il à sa femme en rentrant, je t’amène un ami. Soigne le bien, je veux qu’il soit ici comme chez lui.
- Et moi qui espérais être mieux que chez moi. dit l'individu.
■ Remerciements
Nous tenons à remercier les différents contributeurs de Saint-Salvi-de-carcavèS.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !