Ostwald est une commune en département de Bas-Rhin qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 10800 habitants.
![]() | Français | Ostwald |
![]() | Elsässisch | |
![]() | Population | 10 800 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 7,11 km² |
![]() | Densité | 1518.99 /km² |
![]() | Latitude | 48°33'60" N |
![]() | Longitude | 7°43'0" E |
![]() | Latitude | 48.549999 |
![]() | Longitude | 7.716670 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Patrimoine de Ostwald
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Ostwald
Dicton
Hérébé que hèrèbéyo,
Si hérébé nou hérêbéyo
Mars que marsouléyo,
Si Mars nou marsouléyo
Touts els mes d'édan que gouttereyon.
Février, donne des giboulées,
Si ce n'est février c'est mars,
Si mars est sans giboulées,
Il pleut tous les mois de l'année.
Bérenger de Toulouse - Saint - XI° siècle
Entré dans l'ordre monastique suivant la règle de Saint Benoît, Bérenger, natif de Toulouse, suit les règles bénédictines avec un tel zèle que cela le mènera à la béatification. Né vers l'an 1005 dans la ville rose, fils de noble, vertueux, il est entré dans les ordres dès son adolescence à l'abbaye de Saint Papoul dans la commune du même nom. Menant vie rigoureuse, maître des novices, il devient aumonier du monastère et y décède vers l'an 1093. Ses reliques seront source miraculeuse.
Aide à personne en danger - Année 1884
Un prisonnier d'un pénitencier très dur discute avec un nouveau :
- Moi, j'ai pris 10 ans pour escroquerie, et toi ?
- 20 ans pour secourisme.
- Arrête, tu déconnes, personne n'a jamais pris 20 ans pour secourisme, même pas un an !
- Si, si, ma belle-mère saignait du nez, alors je lui ai fait un garrot autour du cou pour arrêter l'hémorragie.