La Meilleraye-de-Bretagne est une commune en département de Loire-Atlantique qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 1200 habitants.
![]() | Français | La Meilleraye-de-Bretagne |
![]() | Brezhoneg | Melereg-Breizh |
![]() | Population | 1 200 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 27,63 km² |
![]() | Densité | 43.43 /km² |
![]() | Latitude | 47°33'60" N |
![]() | Longitude | 1°24'60" W |
![]() | Latitude | 47.549999 |
![]() | Longitude | -1.400000 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Patrimoine de La Meilleraye-de-Bretagne
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Meilleraye-de-Bretagne
Dicton
Etre pieux ne nuit pas
Etre trop pieux ne convient pas.
Donatien et Rogatien - Saints - IV° siècle
L'Empereur Maximin voyant d'un très mauvais œil le développement du Christianisme, courant religieux de l'Empire déstabilisant un Empire Romain fatigué, tenta d'éliminer les Chrétiens en les persécutant. Convertis à la nouvelle Foi par un certain Similien, Donatien, baptisé, et son frère Rogatien, encore cathécumène, furent arrêtés dans leur bonne ville de Nantes. Comme Chrétiens, après avoir subit tortures, ils furent condamnés à avoir la tête tranchée. Ils passèrent leur dernière nuit ensemble, en prière, et furent exécutés au petit matin le 24 mai vers l'an 304. Leurs reliques furent transférées à Orléans.
Après l'école - Année 1905
- Tu sais, Victor, que je t’ai défendu d’aller chez Henri, qui est très mal élevé.
- Alors Maman, Henri peut venir chez moi ; moi qui suit très bien élevé !