Cormoranche-sur-Saône est une commune en département de Ain qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 1000 habitants.
![]() | Français | Cormoranche-sur-Saône |
![]() | Arpitan | |
![]() | Population | 1 000 |
![]() | Gentilé | cormaranchois |
![]() | Superficie | 9,85 km² |
![]() | Densité | 101.52 /km² |
![]() | Latitude | 46°14'60" N |
![]() | Longitude | 4°50'60" E |
![]() | Latitude | 46.233299 |
![]() | Longitude | 4.833330 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
de gueules à une bande ondée d’argent chargée d’une bande ondée d’azur, accompagnée en chef d’un lion d’hermine et en pointe d’une volute de crosse d’or
Patrimoine de Cormoranche-sur-Saône
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Cormoranche-sur-Saône
Dicton
En jun, vent dòu sera
de gran, n'espéra
En juin, vent du soir
Pour le grain, bon espoir.
Godelieve de Gistel - Sainte, martyre - XI°
Flamande, Godelieve naît vers 1050 à Wierre-Effroy, Pas-de-Calais, et meurt en 1070 à Gistel. En âge, on la marie avec un noble flamand, Bertolf de Gistel, qui la désire comme femme. Marié, il la rejette le mariage célébré. Pour s'en débarrasser, Bertolf la fera trucider et maquiller le meurtre en mort naturelle. Les miracles se multipliant immédiatement, Bertolf fait pèlerinage en Terre Sainte puis devient moine à l'Abbaye de Saint-Winoc. Elle est célébrée le 6 juillet dans le diocèse d'Arras.
La batterie - Année 1905
Après boire, deux camarades de barriques se disputent et échangent force horions. On sépare les combattants en leur demandant le motif de leur pugilat:
- Voilà ! dit l’un, nous avions pris canons sur canons et puis...
- Et puis, vous avez pris une batterie, sort un des auditeurs ?