de gran, n'espéra
En juin, vent du soir
Pour le grain, bon espoir.
■ Le dentiste - Année 1904
La scène se passe chez un dentiste.
Le client: Monsieur , vous m’avez posé un ratelier.
Le dentiste: Je le sais.
Le client: Vous m’aviez promis que ce serait comme des dents naturelles.
Le dentiste: Sans doute !
Le client: Or, vos fausses dents, me font horriblement souffrir.
Le dentiste, avec conviction: Et bien, elles n’en imitent que bien la nature !
■ Remerciements
Nous tenons à remercier les différents contributeurs de Brassac.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !