La Bastide-des-Jourdans est une commune en département de Vaucluse qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 1300 habitants.
![]() | Français | La Bastide-des-Jourdans |
![]() | Provençau | La Batisda dei Jordans |
![]() | Population | 1 300 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 27,74 km² |
![]() | Densité | 46.86 /km² |
![]() | Latitude | 43°47'60" N |
![]() | Longitude | 5°38'60" E |
![]() | Latitude | 43.783298 |
![]() | Longitude | 5.633330 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
coupé de gueules au loup d'or, et d'argent à une barre de gueules
Patrimoine de La Bastide-des-Jourdans
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de La Bastide-des-Jourdans
Dicton
Quand trono au mes de febrié,
Fai de la tino un ajouquié
Quand il tonne en février
Fais de la tonne un juchoir
Appoline d'Alexandrie, Sainte - III° siècle
Née à Alexandrie, Égypte, l'Empereur Dèce, confronté à une crise sans précédent, désigna les Chrétiens comme boucs émissaires ; les émeutes et massacres se multiplièrent alors dans tout l'Empire Romain. Saint Denis d'Alexandrie, écrivant à son ami Fabien, évêque d'Antioche, lui rapporta la mort d'Appoline, ou Apollinie. Celle-ci, attrapée par des émeutiers et n'étant plsu très jeune, se vit casser les dents les unes après les autres par ses agresseurs qui lui demandèrent de renier sa Foi ou d'alelr au b^^ucher. Elle se précipita alors dans les famlles.
La chique de l'Amiral - Année 1895
Un amiral anglais, rendant visite à l’escadre française, dépose sa chique avant de pénétrer dans le carré des officiers. En sortant, il est tout étonné de la retrouver et la reprend.
- Vous autres, Français, dit-il, vous ne serez jamais de véritables loups de mer. Quel matelot anglais eût laissé la chique d’un amiral en ce lieu ?
Alors un Robert s’avançant, la main à son béret, lui répond :
- Je vous demande pardon, Amiral, je l’avais gardée tout le temps en bouche. C’est en vous entendant revenir que je l’ai remise en place...