Badonvilliers-Gérauvilliers est une commune en département de Meuse qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 200 habitants.
![]() | Français | Badonvilliers-Gérauvilliers |
![]() | Population | 200 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 21,03 km² |
![]() | Densité | 9.51 /km² |
![]() | Latitude | 48°33'60" N |
![]() | Longitude | 5°35'9" E |
![]() | Latitude | 48.549999 |
![]() | Longitude | 5.585840 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
n'ayant pas de blason, nous lui avons donné un blason d'attente de sinople plain
Patrimoine de Badonvilliers-Gérauvilliers
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Badonvilliers-Gérauvilliers
Dicton
De vilain, jamais bon faict
N'attendez rien de mauvais personnage
Saint Gildas - Abbé en Bretagne - V° siècle
Écossais, le Gweltaz breton, francisé en Gildas et naquit vers la fin du V° siècle. Ayant étudié en Bro Kembre - Pays de Galles, Gildas, dit Ar Fur - Le Sage, missionnaire, convertit les Cambriens. Ordonné prêtre en l'an 518, et après un passage en Irlande, il vient en Bretagne. S'installant à l'Île de Houat, y passe plusieurs années, et rejoint la Presqu'île de Rhuys où il édifiera un monastère renommé qui, bien que sécularisé, existe toujours. Il meurt le 29 janvier 565, sans doute à Houat.
Mariage ou non - Année 1905
- Maman, demande-t-elle, si je me marie plus tard, est-ce que j’aurai un mari comme papa ?
- Certainement ma chérie.
- Et si je ne me marie pas, est-ce que je deviendrai une vieille fille comme tante Aurore ?
- Sans aucun doute.
- Hélas ! ma pauvre maman, comme les femmes sont malheureuses !