Augères est une commune en département de Creuse qui vous sera d'agréable visite.
Sa population s'élève à 100 habitants.
![]() | Français | Augères |
![]() | Occitan | Augieras |
![]() | Population | 100 |
![]() | Gentilé | |
![]() | Superficie | 12,43 km² |
![]() | Densité | 8.05 /km² |
![]() | Latitude | 46°5'60" N |
![]() | Longitude | 1°44'60" E |
![]() | Latitude | 46.083302 |
![]() | Longitude | 1.733330 |
Découvrez la carte de la commune.
Nous y avons réalisé lien vers l'Institut Géographique National - IGN - dont la qualité des cartes est remarquable.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail.
n'étant pas encore vérifié, nous leur avons donné un blason d'attente de gueules plain
Patrimoine de Augères
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Augères
Dicton
Tounègre en Bêlhé
Mounto lo lato ei grenier.
Tonnerre en février
Monte la gaule au grenier.
(il n'y aura pas de noix)
Appoline d'Alexandrie, Sainte - III° siècle
Née à Alexandrie, Égypte, l'Empereur Dèce, confronté à une crise sans précédent, désigna les Chrétiens comme boucs émissaires ; les émeutes et massacres se multiplièrent alors dans tout l'Empire Romain. Saint Denis d'Alexandrie, écrivant à son ami Fabien, évêque d'Antioche, lui rapporta la mort d'Appoline, ou Apollinie. Celle-ci, attrapée par des émeutiers et n'étant plsu très jeune, se vit casser les dents les unes après les autres par ses agresseurs qui lui demandèrent de renier sa Foi ou d'alelr au b^^ucher. Elle se précipita alors dans les famlles.
Calino est inquiet - Année 1900
Les inquiétudes de Calino.
- Ce qui m’ennuie le plus, c’est de penser qu’après ma mort on dira du mal de moi, selon l’usage, et que je ne serai plus là pour me défendre !