Aigueblanche porte:
de gueules à une aigle d'argent
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Aigueblanche
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. Aigueblanche, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !
Une brave femme d'Accolay ou de ses environs, en département de l'Yonne et en des temps anciens avait deux coqs, braves et belles bêtes. Un rebouteux refusé pour traiter l'entorse de sa fille ensorcela les coqs par vengeance : ils ne chantaient plus au lever du soleil.
Ne sachant que faire, elle se rendit chez le maître d'école qui lui conseilla de leur faire avaler du froment cueillit au lever de lune. La femme usa du conseil et fit avaler ce froment à ses coqs. Dès le lendemain, les coqs, dressés sur leurs ergots, reprenaient leurs bonnes habitudes et réveillaient la maisonnée à la pointe du jour.
Vous connaissez maintenant la technique !
L'épaulard était un animal vénéré et sacré chez les peuples de l'est de Tchoukotchka et, quand les marins voyaient ces animaux, il était us et coutume de leur faire un cadeau: du tabac, de la nourriture, ou tout autre aliment possible...
Ces animaux, chassant proies identiques à celle des chasseurs tchouktches, les aidaient en rabattant les phoques et autres morses près du rivage.
Tout travail méritant salaire, l'épaulard gratifié, la chasse en devient fructueuse...
Gourgo Régino
Le Gourgo Régino est un gouffre de la grotte du Maz d'Azil peu connu des touristes mais pas des indigènes: une princesse disparut en ce lieu et son fantôme parfois apparaît.
Depuis ce triste malheur, les jeunes filles, la veille de leur noces, viennent y consulter. Si l'ombre brumeuse de la princesse apparaît, cela est signe de mariage heureux. L'ombre effacé, la jeune fille peut y remplir une cruche puis rentrer sûre de son mariage...
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Aigueblanche ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Aigueblanche, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie.
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...
⤇ Gaïdaï en Mongolie
En 1942, Léonid Iovitch Gaïdaï - Леони́д Ио́вич Гайда́й, réalisateur soviétique servit en Mongolie puis au Front de Kalinine. Le film Opération Y voit une réplique célèbre liée de cette période mongole.
Venu chercher des volontaires, un commissaire énumérait les spécialités recherchées. Gaïdaï criant Moi ! à chaque demande, ce commissaire hurla à Gaïdaï de le laisser finir la liste: Gaïdaï, laissez-moi finir la liste !.
Gaïdaï, volontaire, terminera la guerre dans la reconnaissance à pied.
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Aigueblanche ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Aigueblanche ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !
Martyr - IX° siècle
Né dans une famille aisé, Arsène dit de Scété ou Le Grand fut ordonné diacre par Saint Damase. Fatigué des apparences de ce monde, il se retira dans le désert de Scété, en Égypte, et y vécu une cinquantaine d'années.
Adepte de l'Hésychasme - contemplation suscitant la Paix intérieure par la prière, on lui attribue les principes de cette pratique religieuse contemplative.
Mars haleux
Marie la fille du laboureux.
⤇ La chique de l'Amiral - Année 1895
Un amiral anglais, rendant visite à l’escadre française, dépose sa chique avant de pénétrer dans le carré des officiers. En sortant, il est tout étonné de la retrouver et la reprend.
- Vous autres, Français, dit-il, vous ne serez jamais de véritables loups de mer. Quel matelot anglais eût laissé la chique d’un amiral en ce lieu ?
Alors un Robert s’avançant, la main à son béret, lui répond:
- Je vous demande pardon, Amiral, je l’avais gardée tout le temps en bouche. C’est en vous entendant revenir que je l’ai remise en place...
Nous remercions les différents contributeurs de Aigueblanche.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !