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Étymologies et toponymes
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■ Cher: Étymologies et toponymes

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes.

Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naître nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons ces néo-toponymes passe-partout, tristes, effrayants et déprimants appliqués sans réflexion à des lieux chargés de belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé

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  • Département: Cher
  • Département: Cher
  • Population: 313 251 hab.
    Gentilé: Chériens
  • Superficie: 7 235,00 km²
    Densité: 43.3 hab./km²
  • Latitude: 47°4'15" N
    Longitude: 2°25'28" E
  • Latitude: 47.070824" N
    Longitude: 2.424491

⌘ Cher: Étymologies et toponymes

⟾ Le département

Le département du Cher tire son nom de la rivière éponyme. Prenant source dans le département de la Creuse, en massif central, le Cher est long de 368km et est un affluent de la Loire qu'il rejoint à Villandry, en Indre-et-Loire.

Les langues locales: Le Berrichon et le Bourbonnais
Les langues locales du département étaient le Berrichon et le Bourbonnais. Ces langues d'Oïl ont connu une longue agonie pour presque disparaître mais trouvent un certain renouveau auprès de jeunes passionnés. Fervents défenseurs de nos langues et cultures régionales qui sont une richesse inestimable de nos terroirs, nous saluons les efforts et engagements de ces personnes.

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◎ Toponymes communaux

  • Achères - 18 -

    Achères est attesté en 1075 et se retrouve avec un Ecclésia beatae Mariaze de Acheriis rappelant en ces lieux l'existence d'une église dédiée à Sainte Marie d'Achères. Achères dérive du latin Apiarium signifiant rucher ; le miel, en des temps reculés, était la seule source de sucre.

    Les lois de certaines régions étaient particulièrement strictes au sujet du miel et pouvaient aller jusqu'à une condamnation à mort en cas de destruction volontaire de ruchers.

  • Ainay-le-Vieil -

    Ainay-le-Vieil est attesté en 1064 pour la première fois connue dans les écrits et se retrouve sous sa forme latine Aigenaicum dans les archives de l'abbaye de Saint Sulpice de Bourges, puis en Ainnacim en 1075, pour trouver une forme spécifiant l'ancienneté en 1186 avec un Ainacum Vetus.

    Ainay dériverait de l'anthroponyme germanique Agina selon Ernest Nègre.

  • Allogny - Allogny

    Allogny est attesté en 856 et se retrouve dans le Cartulaire de l'Abbaye de Saint Sulpice de Bourges sous sa forme latine Oliniacus cum Ecclesia, puis, en 980 sous la forme Aloniacum.

    Comme de nombreux toponymes de la région, Allogny dériverait d'un anthroponyme germanique Alonius; sans doute un de ces guerrier germanique s'étant installé dans la région après dotation de terres par l'Empire Romain en remerciement de bons et loyaux services militaires.

  • Allouis - Allouis

    Allouis est attesté en 820 sous sa forme latine, Vicaria Auliquiacensium. Nous le retrouvons sous les formes Aladoiacus, Aloiacus, Aloi les années 855, 924, 1196.

    Il est probable que ce toponyme soit lié aux alleux, terres franches de seigneurs et taxes seigneuriales. Les alleux étaient transmissibles aux héritiers sans taxes seigneuriales.

  • Annoix -

    En 1123, le chapître de la Saint Chapelle de Bourges cite une église d'Anogia, Ecclesia de Anogia, que l'on retrouve en 1167 dans les archives du Chapître de Château-les-Bourges sous la forme Annoa. Annoix, selon Ernest Nègre, dériverait du latin Annucla signifiant jachère. Sans doute une zone restée plus longtemps non cultivée que les autres terres des environs.

  • Apremont-sur-Allier -

    Apremont-sur-Allier est attesté en 1255 sous une forme latine De aspero Monte dont le sens est identique au sens actuel et signifie Colline âpre, difficile, escarpée. C'est un toponyme assez répandu en France.

  • Arçay -

    Arçay est attesté en 1160 et se retrouve dans les archives du chapître de Montermoyen sous la forme Arciacum puis Arcay en 1204 dans les archives de Saint-Sulpice. Arçay dériverait de l'anthroponyme latin Arcius, citoyen de l'Empire Romain qui devait être le propriétaire d'un domaine rural situé en ces lieux et marqua le territoire de son nom.

  • Arcomps -

    Arcomps est attesté en 1235 dans les archives de l'archevêché de Bourges et s'y retrouve sous la forme latine Arcons, que nous retrouvons en Arconnium en 1240 et 1327. Ce toponyme dérive du latin Arca et rappelle l'existence d'un pont.

  • Ardenais -

    Ardennais est attesté en 1327 et se retrouve sur la liste des subsides du diocèse de Bourges destinées au Prior de Ardenayo. Ce toponyme dérive de l'anthroponyme germanique Ardennus avec les suffixe -acum qui deviendra ce -ais que nous connaissons actuellement.

  • Argent-sur-Sauldre -

    Argent-sur-Sauldre est attesté en l'an 1012 sous la forme Argentum dans les archives de l'abbaye de Saint Ambroix. Le sens de ce toponyme est aisé à comprendre et rappelle sans doute l'existence de gisements argentifères en ces lieux.

  • Argenvières -

    Argenvieres est attesté dans cette phrase latine Guageria de Argenveriis dans le cartulaire de l'abbaye de la Charité en l'an 1192. Le cartulaire de Fontmonrigny signale un Argenveres en 1195, pui un Argenvarium en 1287.

  • Arpheuilles -

    Arpheuilles se retrouve en 1240 avec un Parrochia Arfolie dans le cartulaire de l'Abbaye de Noirlac. L'année 1327 nous fait connaitre un Capellanus de Arpholio et nous retrouvons un premier Arfeulhe en 1410 dans le cartulaire de l'abbaye de Saint Sulpice. Plusieurs hypothèses ont vu le jour à propos de ce toponyme. L'une d'entre elle, assez amusante donnerait Arpheuilles dériverait de Arce-, éminence, et Folia, mot latin désignant les feuilles. Arpheuilles, une éminence de feuilles, est toponyme confortable, surtout par grand vent !

    L'hypothèse émise par une institutrice d'Arpheuilles, Mme Zerr, nous semble la plus cohérente. Elle donnerait le sens de feuilles aigres, piquantes à ce toponyme; nous laissant envisager l'existence d'une houssaye ou arbres à feuilles piquantes suffisamment nombreux et caractéristiques pour permettre de localiser cet endroit sans erreur.

  • Assigny -

    Assigny se retrouve attesté dans les écrits connus en l'an 1144 dans les archives de l'abbaye de Saint Saturnin avec un Ecclesia de Accigniaco. Nous retrouverons ce toponyme en 1163 avec Axigniacum pui un Acigniacum en 1164. L'année 1327 nous fait découvrir un Capellanus de Aucigiaco.
    Ce toponyme, dont le significatif suffixe latin -ac a disparu avec les siècles, est de type gallo-romain et rappelle l'existence d'un domaine rural dont un propriétaire s'appelait probablement Assenius.

  • Aubigny-sur-Nère -

    Aubigny-sur-Nère se retrouve attesté dans les écrits connus en l'an 1189 avec un Albiniacus que nous retrouverons en 1297 avec un Albigniacum super Nigeriam dans le cartulaire de la Charité, puis en 1330, ce toponyme en langue française avec un Aubingny en Berry. Les archives de la prévôté d'Orsan nous laisse voir un Aubigny sur Neire très actuel.

    Comme tous les toponymes Aubigny, ou Aubigné, celui-ci dérive du gentilice romain Albinius; sans doute propriétaire de terres en ce lieu.

  • Aubinges - Aubinges

    Aubinges est attesté en l'an 1170 sous la forme latine Ecclesia Daubingis et nous retrouvons ce toponyme en 1293 avec un Parrochia de Albingiis. L'année 1327 nous fera découvrir un Oubinges. L'année 1545, dans les archives du baillage du Berry, nous fait découvrir un passionnant Aulbinges sur Collin.

    Ernest Nègre ferait dériver ce toponyme de l'anthroponyme romain Albus et Agri - champ ; soit les champs d'Albius.

  • Augy-sur-Aubois - Augy-sur-Aubois

  • Avord - Avord

  • Azy - Azy

  • Bannay - Bannay

  • Bannegon - Bannegon

  • Barlieu - Barlieu

  • Baugy - Baugy

  • Beddes - Beddes

  • Beffes - Beffes

  • Belleville-sur-Loire -

  • Bengy-sur-Craon - Bengy-sur-Craon

  • Berry-Bouy - Berry-Bouy

  • Bessais-le-Fromental -

  • Blancafort - Blancafort

  • Blet - Blet

  • Boulleret - Boulleret

  • Bourges - Bourges

  • Bouzais - Bouzais

  • Brécy -

  • Brinay - Brinay

  • Brinon-sur-Sauldre -

  • Bruère-Allichamps -

  • Bué -

  • Bussy - Bussy

  • Cerbois - Cerbois

  • Chalivoy-milon - Chalivoy-milon

  • Chambon - Chambon

  • Charenton-du-Cher - Charenton-du-Cher

  • Charentonnay - Charentonnay

  • Charly - Charly

  • Charost - Charost

  • Chassy - Chassy

  • Châteaumeillant - Chateaumeillant

    Châteaumeillant est d'origine gauloise et est attesté sur les Tables de Peutinger. Nous retrouvons ce toponyme au VI° siècle sous la forme Mediolanum ainsi que sue le milliaire d'Allichant, chez Grégoire de Tours, ou l'Historia Francorum en l'an 583. Mediolanum est un toponyme celtique dont on trouve une cinquantaine de représentants sur l'aire celtique - et surtout dans les vallées de Seine et Rhône, dont une vingtaine d'étymologie certaine. Mediolanum rappellerait un milieu de plaine, une zone de partage de vallées, ou confluence, ou partage des eaux ; ceci en fonction de la topographie locale.

  • Châteauneuf-sur-Cher - Chateauneuf-sur-Cher

  • Chaumont - Chaumont

  • Chaumoux-marCilly - Chaumoux-marCilly

  • Chavannes - Chavannes

  • Chery - Chery

  • Chezal-Benoît - Chezal-Benoît

  • Civray - Civray

    Civray, commune du Cher, est attestée en l'an 1163; date à laquelle nous retrouvons ce toponyme sous la forme Civraicum dans les archives de l'abbaye de Saint Sulpice. Si 1180 nous dévoile un Sivray, 1185 voit un Syvriacum et l'année 1228 nous fait découvrir un Sevrae le Champenois, puis un Civray le Campanoix en 1534. Ce toponyme semblerait dériver de l'anthroponyme latin Severius.

  • Clemont - Clemont

  • Cogny - Cogny

  • Colombiers - Colombiers

  • Concressault -

  • Contres - Contres

  • Cornusse - Cornusse

  • Corquoy - Corquoy

  • Couargues - Couargues

  • Cours-les-barres - Cours-les-barres

  • Coust - Coust

  • Couy - Couy

  • Crézancay-sur-Cher -

  • CrezanCy-en-sanCerre - CrezanCy-en-sanCerre

  • Croisy - Croisy

  • Crosses - Crosses

  • Cuffy - Cuffy

  • Culan - Culan

  • Dampierre-en-crot - Dampierre-en-crot

  • Dampierre-en-gracay - Dampierre-en-gracay

  • Drevant - Drevant

  • Dun-sur-auron - Dun-sur-auron

  • EnnordrEs - EnnordrEs

  • Épineuil-le-Fleuriel - Épineuil-le-Fleuriel

  • EtrEchy - EtrEchy

  • Farges-allichamps - Farges-allichamps

  • Farges-en-septaine - Farges-en-septaine

  • Faverdines - Faverdines

  • Feux - Feux

    Feux, commune du Cher, est attestée en 1144 sous la forme De Focis. Nous retrouvons ce toponyme au XIII° siècle avec un Feuz ainsi qu'un Foia en 1327. Le sens de ce Feux doit être compris au sens de foyer, maisonnée et servait, à l'époque, de base fiscal pour la perception des impôts.

  • Flavigny - Flavigny

  • Foëcy - Foëcy

  • Fussy - Fussy

  • Gardefort - Gardefort

  • GariGny - GariGny

  • Genouilly - Genouilly

  • GermiGny-l'exempt - GermiGny-l'exempt

  • Givardon - Givardon

  • Gracay - Gracay

  • Groises - Groises

  • Gron - Gron

  • Grossouvre - Grossouvre

  • HenricHemont - HenricHemont

  • Herry - Herry

  • Humbligny - Humbligny

  • Ids-saInt-roch - Ids-saInt-roch

  • Ignol - Ignol

  • IneuIl - IneuIl

  • Ivoy-le-pre - Ivoy-le-pre

  • Jalognes - Jalognes

  • Jars - Jars

  • Jouet-sur-l'aubois - Jouet-sur-l'aubois

  • Jussy-Champagne -

  • Jussy-le-Chaudrier -

  • La ceLette - La ceLette

  • La ceLLe - La ceLLe

  • La ceLLe-condé - La ceLLe-condé

  • La Chapelle-d'Angillon - La Chapelle-d'Angillon

  • La Chapelle-Hugon - La Chapelle-Hugon

  • La Chapelle-Montlinard - La Chapelle-Montlinard

  • La Chapelle-Saint-Ursin - La Chapelle-Saint-Ursin

  • La chapeLotte - La chapeLotte

  • La groutte - La groutte

  • La guerche-sur-L'aubois - La guerche-sur-L'aubois

  • La perche - La perche

  • Lantan - Lantan

  • Lapan - Lapan

  • Laverdines - Laverdines

  • Lazenay - Lazenay

  • Le Châtelet -

  • Le chautay - Le chautay

  • Le noyer - Le noyer

  • Le pondy - Le pondy

  • Le subdray - Le subdray

  • Lere - Lere

  • Les Aix-d'Angillon -

  • Levet - Levet

  • Lignières - Lignieres

  • Limeux - Limeux

  • Lissay-Lochy - Lissay-Lochy

  • Loye-sur-arnon - Loye-sur-arnon

  • Lugny-bourbonnais - Lugny-bourbonnais

  • Lugny-champagne - Lugny-champagne

  • Lunery - Lunery

  • Lury-sur-arnon - Lury-sur-arnon

  • Maisonnais - Maisonnais

    L'année 1113 nous fait découvrir un Maizons, que l'on retrouvera en l'an 1229 avec un Maisons. Les années 1206, 1215, 1290, 1648, nous dévoilent un Domibus Ecclesiarum, parfois alias Maisons ou Deux Églises pour l'année 1648.

    Une église paroissiale antérieure à l'édification du prieuré semble avoir fait naître ce Deux Églises.

  • Marcais - Marcais

  • Mareuil-sur-arnon - Mareuil-sur-arnon

  • MarMagne - MarMagne

  • Marseilles-les-aubigny - Marseilles-les-aubigny

  • Massay - Massay

  • Mehun-sur-yevre - Mehun-sur-yevre

  • Meillant - Meillant

  • Menetou-couture - Menetou-couture

  • Menetou-ratel - Menetou-ratel

  • Menetou-salon - Menetou-salon

  • Menetreol-sous-sancerre - Menetreol-sous-sancerre

  • Ménétréol-sur-Sauldre -

  • Mereau - Mereau

  • Méry-ès-Bois - Méry-ès-Bois

  • Méry-sur-Cher - Méry-sur-Cher

  • Montigny - Montigny

  • Montlouis - Montlouis

  • Morlac - Morlac

  • Mornay-berry - Mornay-berry

  • Mornay-sur-allier - Mornay-sur-allier

  • Morogues - Morogues

  • MorthoMiers - MorthoMiers

  • Moulins-sur-yevre - Moulins-sur-yevre

  • NaNcay - NaNcay

  • NeroNdes - NeroNdes

  • Neuilly-eN-duN - Neuilly-eN-duN

  • Neuilly-eN-saNcerre - Neuilly-eN-saNcerre

  • Neuvy-deux-Clochers - Neuvy-deux-Clochers

  • Neuvy-le-Barrois - Neuvy-le-Barrois

  • Neuvy-sur-Barangeon -

  • NohaNt-eN-gout - NohaNt-eN-gout

  • NohaNt-eN-gracay - NohaNt-eN-gracay

  • Nozières - Nozieres

  • Oizon -

  • Orcenais - Orcenais

  • Orval - Orval

  • Osmery - Osmery

  • Osmoy -

  • Ourouer-lès-Bourdelins -

  • Parassy - Parassy

  • Parnay - Parnay

  • Pigny - Pigny

  • Plaimpied-Givaudins - Plaimpied-Givaudins

  • Plou - Plou

  • Poisieux - Poisieux

  • Precy - Precy

  • Presly - Presly

  • Preuilly - Preuilly

  • Prevéranges - Preveranges

  • Primelles - Primelles

  • Quantilly - Quantilly

  • Quincy - Quincy

  • Raymond - Raymond

  • Reigny - Reigny

  • Rezay - Rezay

  • Rians - Rians

  • Sagonne - Sagonne

  • Saint-Aignan-des-Noyers -

  • Saint-Amand-Montrond -

  • Saint-ambroix - Saint-ambroix

  • Saint-baudel - Saint-baudel

  • Saint-bouize - Saint-bouize

  • Saint-Caprais -

  • Saint-ceolS - Saint-ceolS

  • Saint-chriStophe-le-chaudry - Saint-chriStophe-le-chaudry

  • Saint-deniS-de-palin - Saint-deniS-de-palin

  • Saint-doulchard - Saint-doulchard

  • Saint-éloy-de-gy - Saint-éloy-de-gy

  • Saint-florent-Sur-cher - Saint-florent-Sur-cher

  • Saint-georgeS-de-poiSieux - Saint-georgeS-de-poiSieux

  • Saint-georgeS-Sur-la-prée - Saint-georgeS-Sur-la-prée

  • Saint-georgeS-Sur-moulon - Saint-georgeS-Sur-moulon

  • Saint-Germain-du-Bois -

  • Saint-Germain-du-Puy -

  • Saint-hilaire-de-court - Saint-hilaire-de-court

  • Saint-hilaire-de-gondilly - Saint-hilaire-de-gondilly

  • Saint-hilaire-en-lignièreS - Saint-hilaire-en-ligniereS

  • Saint-jeanvrin - Saint-jeanvrin

  • Saint-juSt - Saint-juSt

  • Saint-Laurent -

  • Saint-Léger-le-Petit - Saint-Léger-le-Petit

  • Saint-Loup-des-Chaumes -

  • Saint-martin-d'auxigny - Saint-martin-d'auxigny

  • Saint-Martin-des-Champs -

  • Saint-maur - Saint-maur

  • Saint-michel-de-volangiS - Saint-michel-de-volangiS

  • Saint-outrille - Saint-outrille

  • Saint-Palais -

  • Saint-pierre-leS-boiS - Saint-pierre-leS-boiS

  • Saint-pierre-leS-etieux - Saint-pierre-leS-etieux

  • Saint-prieSt-la-marche - Saint-prieSt-la-marche

  • Saint-Satur - Saint-Satur

  • Saint-Saturnin - Saint-Saturnin

    Saint Saturnin est attesté en l'an de grâce 1257 sous son vocable latin Sanctus Saturninus. Nous le retrouvons en 1429 avec un Saint Sornyn puis en 1772 avec un Saint Saorlin.

    Saint Saturnin de Toulouse est un des rares martyres de Gaulle dont l'existence soit certaine. Arrêté le 29 novembre 250 dans cette bonne ville de Toulouse, Saturnin fut condamné a être attaché par les pieds et trainé par un taureau. Chanceux, Saint Saturnin rendit l'âme immédiatement, crâne fracassé contre un emmarchement. Il fut enseveli par les Sainte Puelles, jeunes et courageuses chrétiennes.

  • Saint-Symphorien - Saint-Symphorien

  • Saint-vitte - Saint-vitte

  • Sainte-gemme-en-SancerroiS - Sainte-gemme-en-SancerroiS

  • Sainte-lunaiSe - Sainte-lunaiSe

  • Sainte-montaine - Sainte-montaine

  • Sainte-Solange - Sainte-Solange

  • Sainte-Thorette -

  • Saligny-le-Vif -

  • SancergueS - SancergueS

  • Sancerre - Sancerre

  • SancoinS - SancoinS

  • SantrangeS - SantrangeS

  • Saugy - Saugy

  • SaulzaiS-le-potier - SaulzaiS-le-potier

  • Savigny-en-Sancerre - Savigny-en-Sancerre

  • Savigny-en-Septaine - Savigny-en-Septaine

  • Sennecay - Sennecay

  • SenS-beaujeu - SenS-beaujeu

  • SerruelleS - SerruelleS

  • Sevry - Sevry

  • Sidiailles -

  • Soulangis -

  • Soye-en-Septaine - Soye-en-Septaine

  • Subligny - Subligny

  • Sury-en-vaux - Sury-en-vaux

  • Sury-ès-Bois -

  • Sury-preS-lere - Sury-preS-lere

  • Tendron - Tendron

  • Thaumiers - Thaumiers

  • Thauvenay - Thauvenay

  • Thenioux - Thenioux

  • Thou - Thou

  • TorTeron - TorTeron

  • Touchay - Touchay

  • Trouy - Trouy

  • Uzay-le-venon - Uzay-le-venon

  • Vailly-sur-Sauldre -

  • Vallenay - Vallenay

  • Vasselay - Vasselay

  • Veaugues - Veaugues

  • Venesmes - Venesmes

  • Verdigny - Verdigny

  • Vereaux - Vereaux

  • Vernais - Vernais

  • Verneuil - Verneuil

  • Vesdun - Vesdun

  • Vierzon - Vierzon

  • Vignoux-sous-les-aix - Vignoux-sous-les-aix

  • Vignoux-sur-barangeon - Vignoux-sur-barangeon

  • Villabon - Villabon

  • Villecelin - Villecelin

  • Villegenon - Villegenon

  • Villeneuve-sur-Cher - Villeneuve-sur-Cher

  • Villequiers - Villequiers

  • Vinon - Vinon

  • Vorly - Vorly

  • Vornay - Vornay

  • Vouzeron - Vouzeron

⌘ Nos toponymes

Datant souvent des temps les plus anciens, images de l'Histoire, de ses hommes, de leurs langues, nos toponymes sont reflets de l'occupation des territoires par les civilisations qui se succèdent.

L'immense majorité de nos toponymes datent des temps les plus anciens, parfois du néolithique ou de la période préceltique, notamment les oronymes et hydronymes. Ils sont aussi légions à avoir été créés lors des grands défrichements qui ont fait naitre nos paysages, nos hameaux, nos villages et communes actuelles. Images de l'Histoire, de ses hommes et de leurs langues, plusieurs strates linguistiques y sont visibles.

Déplorons les néo-toponymes passe-partout, tristesse effrayante, déprimante et appliqués sans réflexion à des lieux chargés de si belle histoire. Combien de Kerlouano devenus Semaine des quatre jeudis, pour citer une commune bretonne au riche passé ; combien de nouvelles communes aux noms à faire pleurer pierres et monuments ; simple plaidoyer pour nos toponymes, si riches, si beaux, si maltraités par facilité intellectuelle.

Il n'y a pas si longtemps, champs, prés et lieux, si petits soient-ils, avaient un nom: un microtoponyme définissant ce lieu avec précision et fort riche d'information. Ces noms, avec une modernité toponymique, se perdent dans l'oubli. Nous tentons de les inscrire quand découverts et localisés fiablement.