Saint-Gorgon, en breton Sant-Kogo et en gallo sous la forme Saent-Cogo, tire son toponyme du Sant Kogo, breton qui semble avoir occupé la place d'un certain Koko, moine breton arrivé vers le V° siècle. Saint Gorgon, refusant de renier sa religion chrétienne et Christ, est martyr avec Sainte Dorothée bien que favoris de l'Empereur Dioclétien et officiers de sa garde. Eusèbe de Césarée, leur contemporain, rapporte leur martyr, un classique en ces temps reculés.
Ce toponyme est attesté au XI° siècle avec un Senkoko que nous retrouvons en 1189, 1289 puis 1433 avec un Saint Cogo.