Ancy

Anecdote locale
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■ Les cocus du passé

Si, de nos jours, les lois sont écrites et identiques pour tous ou presque - seule son application diffère disent les incrédules, il fut une époque où elles différaient fortement d'une région à l'autre, ainsi que d'une ville à l'autre.

L'adultère était l'objet de lois très changeantes suivant les terroirs. Bien que différant d'une ville à l'autre, ou d'un mandemant à l'autre, elles tendaient à éviter les dérapages et le fait du plus fort.



Ancy

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  • FrançaisAncy
  • Population600 hab.
    Gentilé
  • Superficie11,84 km²
  • Densité50.68 hab./km²
  • Latitude45° 50 '60" N°
    Longitude4° 31 '0" E°
  • Latitude45.833302°
    Longitude4.516670°


⌘ Les cocus du passé

Si, de nos jours, les lois sont écrites et identiques pour tous ou presque - seule son application diffère diront les incrédules, il fut une époque où elles différaient fortement d'une région à l'autre, ainsi que d'une ville à l'autre.

Chateau
La 1° cour du château de Guise

L'adultère était l'objet de lois très changeantes suivant les terroirs. Bien que différant d'une ville à l'autre, ou d'un mandemant à l'autre, elles tendaient à éviter les dérapages et le fait du plus fort.

TCourez après la poule et faites des bottes de foin !

Alors que moult mandements, seigneuries ou villes avaient érigé des lois punissant l'adultère, parfois durement, Ancy et la région lyonnaise, au XIII° siècle, voyait l'adultère puni de manière plutôt amusante - sauf pour les intéressés.

Les amants surpris en pleine action - pas avant ou après mais pendant, étaient condamnés à courir dans la cour du château ; bien sûr nus comme des vers et devant tout la poplation du village et du château.

Préalablement, une poule avait été lâchée dans la cour et des petits brins de bois et de paille. les deux amants devaient collecter suffisamment de brindilles pour faire un feux en vue de passer la poule à la broche. Ceci réalisé, courant toujous nus dans la cour, ils se devaient attraper la poule et la déplumer pour la cuire à la cuisine du château.

Leur peine prenait fin quand la poule, raide morte, était déboyautée, plumée et apprêtée pour la cuisine.

Remarque: Honnêtement, nous ne pouvons vous garantir la véracité de cette coutume lue dans un sérieux ouvrage d'histoire daté de 1878 ; elle nous a par contre bien fait sourire.