Odomez

Anecdote locale
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■ Incubes et succubes

Autrefois, quand l'enfer était réalité pour les esprits, le Démon, roi des Enfers, utilisait moult subterfuges pour séduire les Hommes et les entrainer dans son monde. Séduire hommes et femmes était le domaine réservé des succubes et des incubes.

Toujours beaux ou belles, séduisants ou séduisantes, succubes et incubes vous émoustillaient les sens et encore plus...



Odomez

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  • FrançaisOdomez
  • Population900 hab.
    Gentilé
  • Superficie4,87 km²
  • Densité184.8 hab./km²
  • Latitude50° 27 '0" N°
    Longitude3° 33 '60" E°
  • Latitude50.450001°
    Longitude3.550000°


⌘ Incubes et succubes

Autrefois, quand l'enfer était réalité pour les esprits, le Démon, roi des Enfers, utilisait moult subterfuges pour séduire les Hommes et les entrainer dans son monde. Séduire hommes et femmes était le domaine réservé des succubes et des incubes. Les succubes étaient des démons à l'apparence féminine et se chargeaient des humains sensibles à leurs charmes. Les incubes avaient apparence masculine et faisaient de même pour l'autre sexe, ou ceux qui se faisaient prendre dans leur toile séductrice. Comme les démons sont partout et se déplacent librement, ils peuvent être à Odomez, ou ailleurs.

Nous souhaitions vous en avertir!

Succube
Un succube

TAbrahel: démon succube de la Monarchie infernale

Ce démon nous est connu grâce à un certain Nicolas Rémy qui le décrit dans son Best-Seller, mais le mot n'est pas d'époque, intitulé Démonolâterie.

En l'année 1584, pas très loin d'Odomez, dans le village de Dalheim, en Limbourg, Pierron, pâtre et méchant personnage, s'éprit violemment d'une jeune fille des alentours de Dalheim. Déjà marié, Pierron était père d'un petit enfant, un garçon.

La tête à ses amours, Pierron travaillant à son métier rencontra la jeune fille de ses pensées. Ravissante, charmante, toute fraiche, toute pimpante. L'apparence était flatteusse mais sous la peau fine et délicate se cachait un démon femelle, un succube.

Follement amoureux, Pierron lui déclara sa flamme et reçu accueil favorable. La fraiche et démoniaque beauté accepta de s'offrir à lui si notre Pierron acceptait de lui obéir en toutes choses; ce que Pierron, brûlant de toute sa flamme, accepta avec empressement. Son vigoureux élan fut totalement accueilli par le succube.

Devenant esclave de son succube et de ses instincts, Pierron accepta tous les ordres de son succube, un dénommé Abrahel. Il accepta même, à la demande du succube, de lui sacrifier son fils en offrant une pomme, qui, sitôt croquée par l'enfant, le fit succomber dans l'instant.

Désespéré, face à l'épouvantable douleur de sa femme, Pierron se précipita alors retrouver son succube pour lui demander un peu d'apaisement; ce que le succube accepta si Pierron se mettait à genoux pour l'adorer à la manière de Dieu. Pierron s'exécuta immédiatement. L'enfant ouvrit les yeux. on le frictionna, le réchauffa, l'encouragea mais l'enfant n'était plus le même; il était devenu malingre, hâve, avait l'œil morne, le teint blafard, ses déplacements étaient lourds et pesants.

Au bout d'une année, l'enfant succomba définitivement. Il tomba à la renverse et le démon qui l'habitait s'échappa avec un bruit terrible. Le corps entra immédiatement en putréfaction. Sa puanteur était si insupportable qu'il fallut utiliser un croc pour le sortir du domicile parental. Le pauvre enfant fut enterré dans un champ, anonyme et oublié de tous en ces terres du Limbourg.