./Plonévez-Porzay: Presse passée

Plonévez-Porzay

Plonévez-Porzay - Presse passée
a_1
 :

Sponsor

plonevez-porzay
<Cliquez l'image>

■   Plonévez-Porzay: Presse passée

La presse du passé de la commune de Plonévez-Porzay est bonne source pour connaître Plonévez-Porzay

Ces coupures de presse voient faits-divers, larçins, crimes et violences ou simples cuites verbalisées d'une bonne nuit au violon avec nom, prénom et adresse en clair dans la presse.

À l'époque, les menus larçins pour notre époque voient enquête, et il nous est arrivé de découvrir que le commissaire fait une enquête pour un simple morceau de lard !

Crimes odieux et violences sont aussi légions. La violence était déja forte en ces temps reculés.

Plonévez-Porzay

plonevez-porzay


  • FrançaisPlonévez-Porzay
  • BrezhonegPlonevez-Porzhe
    ( Breton )
  • Population1 700 hab.
    Gentiléplonévéziens
  • Superficie29,23 km²
  • Densité58.16 hab./km²
  • Latitude48° 6 '60" N°
    Longitude4° 13 '0" W°
  • Latitude48.099998°
    Longitude-4.216670°


⌘ Plonévez-Porzay: Presse passée


■ Le crime de Plonévez-Porzay

Plonévez-Porzay, 9 janvier - Corentin Dhervé, âgé de 24 ans, domestique de ferme, était accusé d'avoir assassiné Jean-Louis Doaré, son maître, propriétaire en Plonévez-Porzay. Marie-Catherine Pennanéac'h, veuve Doaré, âgée de 32 ans, était accusée de s'être rendue complice de ce crime, soit en excitant par dons et promesses Corentin Dhervé à le commettre, soit en lui donnant des instructions ou en facilitant le crime. Quarante témoins ont été entendus dans cette affaire qui a duré deux jours.
Le jury a répondu négativement aux questions qui lui étaient soumises, et les deux accusés ont été acquittés.

LE COURRIER DU FINISTÈRE - 24 janvier 1880

⌘ Presse passée

La presse du passé est passionnante !

Regorgeant d'anecdotes ou de faits-divers, parfois croustillante, souvent sordide, parfois amusante, elle nous permet de ressentir la manière de pensée de nos aïeux, de ceux qui ont vécu en cette commune, en ce territoire, de ceux qui l'ont fait vivre et que nous visitons.

La presse passée redonne vie aux simples citoyens, à ces gens qui n'auront jamais nom en livres d'histoire.

Il est plaisant d'y voir l'évolution des importances: en 1900, le commissaire fait une enquête pour un vol de jambon.

La violence est importante: violences ménagères ou non sont courantes, violences villageoises, banditisme ou non aussi ; les comptes se règlent à coups de poings, de bâtons ou autres armes.

Les cuites sont monnaie courante et pas exclusives de certaines régions: nombre de nos aïeux - ayant sans doute très soif, picolent sec !

Un prix spécial devrait être décerné à certains journalistes de cette presse ancienne: les coupures concernant les cuites et amendes en découlant sont parfois d'un humour extraordinaire.

Nous ne pouvons que vous conseiller de lire et acheter la Presse: vous la ferez vivre et imprimerez l'Histoire !