

Combrit est une commune de 3.500 habitants en département de Finistère qui vous sera d'agréable visite.
Explorant ses chemins, ses sentes, ses rues ou ruelles, vous saurez avoir le coup d'œil pour y découvrir ces multiples trésors faisant la richesse de nos histoires locales ; histoire qui est celle des hommes, des générations et de leurs durs labeurs...
N'hésitez pas à nous faire suivre des photographies pour nous permettre d'illustrer ces pages.
Avec nos remerciements pour vos participations et aides.

Découvrez la carte du territoire concerné.
La qualité de leurs cartes étant remarquable, nous avons réalisé lien vers les cartes de l'Institut Géographique National - IGN pour la France, et vers Yandex pour les autres pays.
Vous sélectionnerez l'échelle de la carte en fonction des activités prévues ; plutôt cartes à petite échelle si vous rayonnez large ; plutôt grande échelle si vous recherchez le détail. 
Quelques photographies vous permettant de jeter un premier coup d'œil sur la commune ou ses paysages...
Toutes les photographies présentées sont réalisées sans manipulations informatiques, ajouts, rectifications, ou autre artifice déformant la réalité des lieux.
Elles sont aussi le fait d'amateurs et sont donc à la portée de chacun d'entre nous.

En 1223, nous découvrons un Combrit, puis sous sa forme latine en 1284 avec un Combrictum ; le nom breton de la commune étant Kombrid.
Certaines hypothèses donneraient à ce toponyme le sens de Conbrit, nom féminin breton attesté en 863 et dérivant de Cun, Con - élevé, et Brit - esprit, désir, volonté - ou Prit, forme, apparence.
Bernard Tanguy, toponymiste, ferait dériver ce toponyme d'un mot gaulois armoricain Comboros, donc pré-breton. Ce mot expliquerait aussi le mot combre qui, en ancien français, signifiait barrage, pêcherie.

Combrit porte:
écartelé: au premier d'hermine plain ; au deuxième d'azur à une tour masurée d'argent, maçonnée de sable, mouvant de la pointe, surmontée à senestre d'un drapeau breton ; au troisième d'azur à une nef d'or, habillée d'argent, voguant sur une fasce ondée du même ; au quatrième de sable à cinq broderies en de plumes de paon de Cornouaille d'or rangés en sautoir
Sauf faits de guerre, catastrophes naturelles ou destructions massives et volontaires, le patrimoine architectural d'une commune est reflet de la richesse de son passé. Ce patrimoine peut aussi être patrimoine naturel ; il est alors don remarquable lié à la nature et ses grandeurs.
Nous vous laissons le découvrir en suivant ce lien sur le patrimoine de Combrit
Depuis la nuit des temps, les animations de celles qui furent paroisses, villages, bourgs ou villes puis devinrent nos communes actuelles ponctuent la vie de leurs habitants. Combrit, comme toutes nos communes voit des animations se dérouler sur son territoire ; elles sont foires ou marchés et ponctuent la vie communale.
Découvrez-les en suivant ce lien !

Une tradition locale laisse entendre que le village de Neffes, village des Hautes-Alpes, en sud Dauphiné et France, possédait trois portes.
L'une de ces portes, la plus grandiose, prestigieuse, sans pareille au monde, s'appelait Albine.
Ces trois portes ont disparu sans laisser de traces...

Longtemps, en terres du Morvan, région de France, il était d'usage, lors d'un enterrement de faire le chemin du mort.
Un membre de la famille précédait le convoi funèbre et brûlait, tout au long du parcours, des poignées de paille.
Ces petits feux éloignaient les mauvais esprits et permettaient au mort de pouvoir partir aisément et reposer en Paix au cimetière paroissial.

Si vous êtes camionneur, vous devrez éviter de rouler le jour de la Sainte Catherine car vous risquez malheur.
C'est ce qui se pratiquait avec les charretiers des Ardennes qui sont gens sérieux et dont nous vous invitons à suivre le conseil avisé.
Né dans la commune ou non, il fut connu pour ses écrits.
Inspiré par Combrit ou non, il fut charmé par quelque paysage, ému par des sentiments ou sensible à quelque personne, et laissa s'exprimer la muse pour écrire quelques belles lettres malheureusement devenues souvent trop peu connues.
Nous souhaitons vous les faire découvrir ou redécouvrir à travers la page poétique que vous ouvrirez en cliquant ce lien...
Habitants de Combrit, ils ont accepté de prendre librement la plume et nous parler de leur lieu de vie. 
Il nous semble important de donner la parole aux habitants et leur permettre de partager leurs ressentis, sentiments, souvenirs et autres.
Nous les remercions pour leur participation et partage.
Les premiers guides touristiques, au sens où nous l'entendons actuellement, sont nés avec le développement du chemin de fer et moyens de transport.
Contrairement aux récits de voyages qui se limitaient au parcours réalisé, les guides touristiques fournissent multiples informations sur les lieux et destinations que vous désirez visiter.
Voici quelques passages d'anciens guides touristiques concernant Combrit.
Les Beaux-Arts sont nourriture de l'Âme...
Les Beaux-Arts comme définis par le Dictionnaire de l'Académie Française, sont l'ensemble des arts majeurs ou simplement des arts, soit la peinture, la sculpture, la gravure, l’architecture, appelées aussi arts plastiques, auxquelles s’ajoutent la musique et la danse.
Via ce lien, vous découvrirez une œuvre, sculpture ou peinture, et un court texte la concernant.
 ⤇ Découverte d'un cadavre
Combrit, 21 mars - On vient de découvrir dans l'anse de Combrit, au lieu dit Roscuré, le cadavre de M. Claude Carlou, propriétaire, âgé de 70 ans, disparu en mer le 5 janvier dernier.
Malgré son état de décomposition très avancée, ce cadavre, que le flot avait rejeté en cet endroit, a été reconnu par la fils du défunt.
L'Ouest-Éclair - 23 mars 1915
La cuisine a toujours influencé l'Homme et ce, depuis la nuit des temps.
Si nos aïeux, tout comme nous, aimaient faire bonne table et bonne chair, leurs recettes et mode de cuisiner ont terriblement changé ; nos goûts aussi...
Voici donc une recette ancienne ou actuelle telle qu'elle se cuisine ou pouvait se cuisiner dans nos bourgs, nos villages, ou ailleurs...

⤇ Cocufiages à Sens
Chants de travail, de veillée, berceuses ou chants à danser, ils ont toujours accompagné nos aïeux, leurs soirées et leurs veillées. Ces chants ne demandent qu'à vivre ou revivre à travers vous et vos amis ; n'hésitez donc pas à les chanter.
Nous vous invitons donc à cliquer l'image ou le lien pour accéder à la page concernant les chansons de Combrit ; si non trouvée, vous découvrirez un chant d'une autre région...
Nos fruits et légumes sont maintenant scientifiquement profilés et uniformisés pour tenir au frigo !
Il fut une époque passionnante où nos cultivars et variétés fruitières étaient d'une grande diversité de goûts, de couleurs et de formes.
Le mot pomologie n'intègre normalement que les fruits mais, ne devant oublier nos autres végétaux domestiques, nous avons intégré légumes et plantes sous cette rubrique.
 Redécouvrez-les, plantez-les et mangez-les !
À Combrit ou ailleurs, elles se voyaient sur les murs ou panneaux d'affichages. Elle invitaient à acheter, vantaient un produit, ou étaient support d'un message quelconque pouvant être information de santé publique, d'appel à soutien au pays en cas de guerre, ou invitations au voyage...
Maintenant, les mots Réclame et Publicité - mots bien français victimes de la langue invasive, sont remplacés par Communication.
C'est bien dommage !

Saint - XVI° siècle
Charles, fils de famille milanaise noble et riche, est promis à vie fastueuse. Neveu papal, jeune cardinal, fonctionnaire de l'Église, il mène vie laïque rigoureuse et laborieuse. Son frère aîné mort le voit faire choix de prêtrise. Nommé Archevêque, il se consacre pleinement à sa charge, prend soin des pauvres et en fait choix pour lui-même. Lors de l'épidémie de peste de Milan, 1576, il demande à ses religieux de devenir infirmier tout comme il le fait. Mort en 1584, il est saint patron de Milan.

Na pa rafe ar vilin nemet un dro krenn
Ar miliner a zo sur deoc'h ur grampouezenn !Le moulin ne fait-il qu'un tour
Le meunier est sûr d'avoir sa crêpe !

⤇ Dans les Alpes - Année 1905
Gontran se console de la mort de son oncle qui le laisse héritier de trente mille livres de rentes, par la suite d’une chute qu’il a faite dans un précipice.
- Le pauvre homme n’a pas souffert, et vu ma situation, il est réellement tombé à pic !
Nous remercions les différents contributeurs de Combrit.
Ils participent avec des photographies récentes ou anciennes, avec des informations, des écrits personnels ou des pistes de recherches.
Leur aide est précieuse et ce travail mémoriel se construit grâce à leurs partages.
Un grand merci à tous et toutes !